Pourtant, la végétalisation de l’offre alimentaire est l’un des leviers les plus puissants pour agir sur l’impact écologique des festivals
Pourtant, la végétalisation de l’offre alimentaire est l’un des leviers les plus puissants pour agir sur l’impact écologique des festivals
faire le distinguo entre vrais labels et allégations trompeuses est souvent la difficulté à laquelle est confronté·e le consommateur ou la consommatrice au moment de choisir un produit cosmétique en supermarché, en magasin spécialisé ou sur Internet. Et, il faut bien l’admettre, elle ou il doit alors s’armer de patience et de bonne volonté pour décrypter l’étiquette.
Voilà l’expérience jubilatoire que propose Rosa B. dans Panique chez les carnistes, le cinquième tome de sa série culte Insolente Veggie, publié aux Éditions La Plage.
Halloween arrive ! Pour l’occasion, je vous donne mon avis sur ANIMAL HUMAN, un manga de type thriller psychologique voire horrifique !
Et si notre alimentation n’impactait pas seulement notre santé… mais aussi notre planète ? 🌱
Si on devait tenir le couteau, est-ce qu’on continuerait à manger des animaux?
Changeons de regard 👉 www.vegan-pratique.fr
Puisqu’on veut interdire le “steak végétal” pour éviter la confusion, exigeons la cohérence totale : adieu la langue de chat, le lait démaquillant et les fruits de mer
Des festivals veulent végétaliser leur offre alimentaire et cherchent des foodtrucks vegans partout en France.
« Mange un tofu, sauve un cochon ». C’est le slogan de l’opération lancée par Victor Fighiera, artisan et producteur de tofu à Poitiers.
Cet article est publié en partenariat avec le Bondy Blog, un média en ligne, né en 2005, visant à « donner la parole aux habitants des banlieues urbaines ».