
Dans son« Le petit guide du véganisme tout- en- un » Annie Carbonneau, s’appuie sur son cheminement personnel pour nous parler de la transition de celles et ceux qui veulent adopter le mode de vie végane.
Un éclairage très personnel et sans fard qui nous fait poser les bonnes questions.

On dit très souvent que rien dans ce monde n’arrive par hasard, cette histoire en est un illustre exemple. Jusqu’à ce jour, Mike avait le sentiment que tout roulait plutôt bien dans sa vie, mais une rencontre qu’il n’attendait plus, allait bouleverser son existence tout entière.
Elle s’appelle Mel, c’est une fille charmante, mais il va découvrir que son univers est à l’opposé du sien.
Cette rencontre se révélera être le point de départ d’une aventure humaine des plus fantasques…

Quand on prend leur veau, les vaches chargent. Même si elles n’ont plus de cornes. Elles courent comme des génisses, sans la joie. Leur plainte envahit l’air froid. Traverse les prés. Frappe les carreaux de la ferme. S’insinue dans les oreilles. Elle devient un bourdonnement qui empêche de penser à autre chose. Qu’à cette mère qui appelle son veau. »
Tandis qu’ils œuvrent à leur survie, rien n’échappe aux animaux de la ferme. L’inquiétude de l’éleveur acculé par les échéanciers, les batailles des fils à mesure qu’ils grandissent, les pas de la femme, plus lourds que d’ordinaire. La vache, la chienne, le chat sont les vigies d’un monde rythmé par la vie et la mort. Leur ronde silencieuse ne connaît pas le contretemps. Mais dans cette ferme une tragédie a cours et personne n’en devine rien. Parce que les hommes sont aveugles, les bêtes vont témoigner.
Avec ce huis clos à ciel ouvert, où les cris des bêtes se mêlent aux secrets des hommes, Agnès de Clairville s’attache à renverser le regard. Qu’ont à nous dire les animaux sur notre rapport à la naissance et à la filiation ? Ici, l’animalité commande tout et les mots bousculent, jusqu’à l’inattendu.

Province du Québec, 1942. Sur Grosse-Île, dans le fleuve Saint-Laurent qu’arpentent les sous-marins allemands, les gouvernements américain, britannique et canadien mettent en place un projet top secret. Des dizaines de scientifiques y sont réunis dans la plus grande discrétion, afin de mettre au point une arme bactériologique nouvelle. Des décennies plus tard, à l’occasion d’un épisode de canicule d’une ampleur inédite, des accès de rage bousculent la petite ville de Montmagny et ses alentours. Elle semble se propager comme une épidémie à mesure que les frappabords se multiplient.
Mireille Gagné fait preuve d’invention dans ce deuxième roman, un livre écologique, subtil et haletant, qui nous recommande d’écouter ce que le vivant essaie de dire : l’équilibre est un état à retrouver.
Vous auriez probablement ressenti de la nausée en nous voyant surgir sur les berges du Saint-Laurent : une nuée de frappabords, en une seule main sombre et vorace, caressant les herbes hautes au lever du soleil.

Il est l’enfant qui a quitté le foyer, le mari décédé, le bébé qu’on ne peut plus avoir. Il est le compagnon de vie, celui qui reste quand on n’a plus rien. Mais le chien est aussi le défenseur du foyer, le protecteur de la rue, le dernier rempart contre les violences masculines.
Prenant pour point de départ sa propre relation aux chiens, Ovidie questionne leur place dans la société à travers un prisme qui ouvre le regard.

Une réflexion métaphysique et éthique profonde : quelle est la frontière entre l’humain et l’animal ?
À l’université d’UCSM, en Californie, un sujet est dans toutes les bouches : le passage à la télé du professeur Guy Schermerhorn et de son chimpanzé Sam – un singe pas comme les autres : il parle, Guy l’ayant initié à la langue des signes.

Tepe est un conte beau et violent, sur l’humanité d’il y a des milliers d’années, mais c’est aussi une critique subtile des sociétés modernes, une réflexion sur la religion et sur notre relation avec la nature.

Des procès d’animaux eurent cours au Moyen Âge. Ici, les protagonistes sont : une brave truie, un sinistre juge et un avocat miséreux. Un récit historique et fantastique qui se rapproche de la fable.
Accusée d’avoir provoqué la mort d’un cavalier, une truie est conduite devant le tribunal : elle encourt la peine capitale. Le juge, un homme puissant qui n’a que mépris pour les êtres qu’il juge inférieurs, animaux, porchers ou même seulement femmes, fût-ce sa propre épouse, se trouve confronté contre toute attente à un avocat de talent qui défend avec ferveur la cause du malheureux animal…

Une découverte des grues, qui relatent elles-mêmes leur migration annuelle. De l’oeuf au premier vol, de la Suède au Maroc, ces oiseaux témoignent des trajets qui rythment leurs vies autour du monde. L’autrice sensibilise ainsi les jeunes enfants à l’importance de la préservation des écosystèmes, soulignant l’impact des hommes sur les habitats de cette espèce.

Une découverte des grues, qui relatent elles-mêmes leur migration annuelle. De l’oeuf au premier vol, de la Suède au Maroc, ces oiseaux témoignent des trajets qui rythment leurs vies autour du monde. L’autrice sensibilise ainsi les jeunes enfants à l’importance de la préservation des écosystèmes, soulignant l’impact des hommes sur les habitats de cette espèce.

Et si on apprenait à connaître et comprendre le monde animal, sans le déranger ?
Une splendeur !
Dès 5 ans et pour tous

À travers 26 histoires vraies et étonnantes, ce livre raconte l’incroyable diversité observée chez les animaux lors de la reproduction, de la naissance des petits et de leur élevage, jusqu’à leur indépendance. Il existe une multitude de schémas familiaux : parents absents, célibataires, en couple hétérosexuel, homosexuel, ou qui vivent en communauté… Chacun a bien évidemment pour objectif d’assurer la survie de ses petits. Chez les animaux, comme chez les humains, il n’y a pas une manière de venir au monde ni une famille modèle, bien au contraire, et c’est aussi ce qui fait la richesse du vivant.