Chaque année, en France, 258 animaux en moyenne sont abattus par habitant. Plus nous tuons d’animaux, plus nous en consommons, plus nos mécanismes d’occultation se renforcent pour justifier cette violence non-nécessaire.
Chaque année, en France, 258 animaux en moyenne sont abattus par habitant. Plus nous tuons d’animaux, plus nous en consommons, plus nos mécanismes d’occultation se renforcent pour justifier cette violence non-nécessaire.
Le spécisme désigne une discrimination fondée sur l’espèce. Comme le racisme et sexisme, il impose une hiérarchie systémique et arbitraire, qui justifie l’exploitation, la violence et la mise à mort de certains animaux.
La Cour administrative d’appel de Toulouse a tranché. La mise à mort de taureaux est définitivement interdite dans les arènes de Pérols, dans l’Hérault. Une décision historique, à la suite d’une longue bataille juridique.
Alors que le marché mondial des animaux de compagnie a généré 67 millions d’euros en 2023, on voit se multiplier une offre de services de plus en plus variée.
“Je pourrais arrêter la viande, mais le fromage j’en serais incapable ».
“Je ne pourrais jamais être végane, parce que j’aime trop le fromage”.
Vous avez déjà entendu, ou prononcé ces paroles vous-même ?
Pour ce 3ème épisode, Emmanuelle Porcher, écologue et professeure du Muséum nous parle de l’importance des pollinisateurs dans notre écosystème. Véritables ouvriers de la nature, ils permettent la bonne reproduction des espèces végétales et ainsi, la continuité de la chaine alimentaire.
Un jeune renardeau découvre le monde pour la toute première fois, guidé par sa maman.
On croit que le plus dur, c’est d’écrire. Mais en fait… le plus dur, c’est de réécrire. Cet épisode plonge dans la phase des relectures : les retours cash des proches, les annotations qui piquent mais sauvent un chapitre, les doutes qui reviennent à chaque page, les désaccords entre relecteur·ices, les éternels « ça ne sera jamais assez bien »… et puis le moment où il faut dire stop.