Vous avez été professeure des écoles, puis vous êtes devenue romancière il y a plus de dix ans. Comment décririez-vous votre parcours et comment vous décririez-vous vous-même, en tant qu’autrice?

Vous avez été professeure des écoles, puis vous êtes devenue romancière il y a plus de dix ans. Comment décririez-vous votre parcours et comment vous décririez-vous vous-même, en tant qu’autrice?
La haine du monde de l’élevage envers toute forme de vie sauvage ne doit pas mettre en péril cette famille en devenir.
C’est une histoire de braconnage d’une violence extrême que l’enquête ouverte par l’Office français de la biodiversité (OFB) en 2023 a permis de révéler. Nous nous sommes constitués partie civile et seront présents au tribunal judiciaire de Châteauroux le 30 avril 2025 à 13h30.
Alors que les autorités affirment vouloir restreindre leur usage, les données racontent une tout autre histoire
Alors que dans de nombreux domaines, la recherche innove pour se passer de l’expérimentation animale et que les méthodes alternatives deviennent de plus en plus fiables, le CNRS investit massivement dans l’extension de sa station de primatologie de Rousset, située à 16 km d’Aix-en-Provence.
Les détracteurs de ces canidés ne sont donc jamais rassasiés. Contre ce texte plus que permissif et flou au possible, nous venons de déposer, avec Animal Cross et AVES, un recours devant le Conseil d’État pour demander son annulation.
À Anost, dans le parc régional du Morvan, des sangliers sont enfermés depuis des années dans un enclos touristique géré par l’Office national des forêts (ONF) et souvent affamés. Plusieurs
Jeudi 10 avril 2025, les autorités espagnoles ont opposé un refus définitif au transfert des orques de Marineland d’Antibes vers Loro Parque. Une décision salutaire, fruit d’une mobilisation de longue haleine.
L’expertise, demandée par l’association One Voice, conclut que les animaux du zoo marin d’Antibes étaient aussi bien traités que possible. On fait le point sur ce nouvel élément dans le dossier Marineland
Malgré une majorité de votes en faveur de son maintien, c’est finalement la mairie qui a eu le dernier mot le 31 mars, en prenant un arrêté interdisant « la tradition du « cou de l’oie » avec le cadavre d’un animal. »