Le 16 septembre 2025, la Cour d’appel de Lyon examinera un dossier qui suscite une vive émotion dans la sphère de la protection animale. Il s’agit de l’affaire de Riya, une chienne retrouvée vivante dans une poubelle en avril 2023,
Le 16 septembre 2025, la Cour d’appel de Lyon examinera un dossier qui suscite une vive émotion dans la sphère de la protection animale. Il s’agit de l’affaire de Riya, une chienne retrouvée vivante dans une poubelle en avril 2023,
L’affaire révulse : un élevage hébergeant des animaux dans des conditions extrêmes a été découvert. Les bêtes y vivaient dans l’insalubrité la plus totale, sans soins ni cadre adapté. Face à cette situation intolérable, la justice a tranché avec sévérité.
Trop occupés à se disputer un malheureux morceau de plastique, ils ne se sont pas aperçu qu’ils étaient “libres”. Un troisième se balade, non loin des dromadaires…
Un jeune homme et une jeune fille âgés de 17 ans ont été condamnés lundi à des peines respectives d’un an et de neuf mois de détention pour avoir torturé et tué deux chatons, retrouvés éventrés dans une zone boisée du nord-ouest de Londres
La préfecture en flagrant délit de déni
Eddine Ariztegui, adjoint au maire délégué à la condition animale et élu du Parti animaliste, dénonce une mise à mort injustifiée et un manquement démocratique.
A nouveau, nous avons saisi en extrême urgence ce même tribunal dans le cadre d’un référé liberté. Et, une fois encore, celui-ci a suspendu l’arrêté en rappelant que ces tirs ne peuvent en aucun cas être menés de jour, c’est-à-dire après 8h du matin. Une victoire partielle pour les ours, donc, qui devraient néanmoins continuer à faire l’objet de ces tirs effrayants, aux conséquences dramatiques pour les femelles et leurs petits, pendant la nuit.
La scène est éprouvante. Prostré dans un coin des parties communes d’un immeuble de Pierrefitte-sur-Seine, Rio présente des plaies saignantes sur le corps et des hématomes au niveau de la gueule.
Pour empêcher une véritable hécatombe et dire stop à ces dérives, One Voice demande la suspension immédiate de cet arrêté. Rendez-vous à l’audience du 1er août à 10 h au tribunal administratif de Nîmes.
1149 contre, 145 pour : le préfet autorise. L’arrêté préfectoral autorisant le déterrage des blaireaux dès le 15 juin a été pris à l’issue d’une consultation du public dont le bilan est sans appel : 1149 participants à la consultation ont émis un avis défavorable (soit 88 %), contre 145 avis favorables (soit 11 %).