Sur l’île de la Réunion, une mère et son fils ont laissé leur chienne mourir sur leur terrasse. Ils ont été reconnus coupables et condamnés par le tribunal de Saint-Denis

Sur l’île de la Réunion, une mère et son fils ont laissé leur chienne mourir sur leur terrasse. Ils ont été reconnus coupables et condamnés par le tribunal de Saint-Denis
Cette décision de justice fera date. « Nous sommes très satisfaits » réagit Thomas Dubreuil, l’avocat de la Ligue de protection des oiseaux, Bretagne Vivante ou One Voice.
L’auteure s’est interrogée sur la façon dont les cas de cruauté ou de maltraitance animale sont traités par la justice.
Après les suspensions en urgence prononcées l’année dernière, les préfets s’acharnent de nouveau cette année. Il s’agit de périodes complémentaires ouvertes du 1er juin au 14 septembre 2025 (une petite avancée dans le Morbihan, qui ouvrait celle-ci quinze jours plus tard qu’en 2024).
Cette condamnation historique fait suite à la plainte de l’Association Justice Animaux Savoie (AJAS) déposée en 2023 après avoir constaté des manquements dans certains lycées de la région Auvergne Rhône-Alpes à faire appliquer la loi imposant un menu végétarien obligatoire par semaine.
Abattage de chèvres errantes : avec One Voice nous attaquons l’arrêté préfectoral !
le tribunal judiciaire de Mulhouse (Haut-Rhin) a condamné un homme de 38 ans à 18 mois de prison, dont 12 mois ferme, pour avoir infligé de graves sévices à son chien, un berger belge malinois de 4 ans
Dans cette affaire, « on a beaucoup de personnes qui sont très âgées (…) plus le temps passe, plus on va perdre des prévenus et la réponse pénale ne pourra pas être là, donc c’est très décevant » , a regretté Hervé Hourcade, juriste de l’association France Nature Environnement, partie civile dans ce dossier où deux personnes poursuivies sont déjà décédées.
Un trafic présumé d’espèces protégées d’oiseaux, impliquant une douzaine de prévenus parmi lesquels des ornithologues, un parc animalier ou encore un revendeur en Belgique, sera jeudi dans le Lot au
Seul hic dans ce système qui autorise encore la « naturalisation » d’animaux pour couronner leur vie de misère: le cirque n’avait pas le droit d’avoir cet animal et encore moins de le céder pour s’enrichir sur son dos. Face à cette transaction honteuse et illicite, nous avons déposé plainte auprès de la procureure de la République de Paris.