Ce 5ème épisode “Pour que Nature vive” accueille Nathalie Machon, professeure d’écologie urbaine et responsable scientifique du programme de sciences participatives “Sauvages de ma rue”.

Ce 5ème épisode “Pour que Nature vive” accueille Nathalie Machon, professeure d’écologie urbaine et responsable scientifique du programme de sciences participatives “Sauvages de ma rue”.
Le grand moment est enfin arrivé !
Après des mois de travail acharné, la nouvelle BD sur les rats est enfin sur les starting blocks !
Petit mammifère à fort capital sympathie dans l’imaginaire collectif, le raton laveur, venu d’Amérique du Nord, est aussi considéré comme « espèce exotique envahissante ». Sa prolifération en France, que rien ne
Selon les dernières statistiques du Fonds mondial pour la faune (WWF), moins de 50.000 éléphants d’Asie subsistent à l’état sauvage dans le monde, dont 60% d’entre eux sur le sol indien.
Nous appelons les journalistes, ONG et citoyens à unir leurs forces à Gardiens des Félins et à l’association FUTUR pour relayer ces faits et se mobiliser.
La vie de milliers d’animaux en dépend.
Nous avons des animaux de compagnie, mais nous avons perdu la compagnie des animaux. Nous ne voyons plus que ceux que nous tenons au bout d’une laisse, ou bien dans les zoos, les cages et les enclos. Comment fonder une société égalitaire avec les autres animaux ?
Des trafiquants se lancent dans le trafic de civelles, une espèce en danger critique d’extinction :
En banlieue parisienne, des douaniers français ont découvert des bassins cachés dans des hangars. Des civelles, des bébés anguilles, y sont stockées illégalement après avoir été pêchées dans nos rivières.
Bon, il est temps de clore cette série d’été… parce qu’on est déjà en octobre, et que le livre est enfin sortiii 💜
Dans ce dernier épisode, je reviens sur ce que j’espère que le livre pourra apporter :
🥋 un manuel d’autodéfense intellectuelle contre les arguments spécistes les plus fréquents ;
🌍 une cartographie du spécisme et de l’antispécisme pour comprendre comment tout s’articule ;
🛠️ une boîte à outils collective pour renforcer nos luttes, nourrir nos réflexions, et faire circuler les idées.
« Il s’agit d’une première mondiale », assure le vétérinaire Benoît Quintard, directeur du Parc zoologique et botanique de Mulhouse et référent du programme d’élevage européen de la panthère de l’Amour.
Pilotée par l’Office français de la biodiversité (OFB), Migralion s’est intéressée à cet espace maritime stratégique de l’avifaune, fréquenté ou ponctuellement survolé par des millions d’individus appartenant à de nombreuses espèces d’oiseaux, mais sur laquelle on manque encore de connaissances.