Le Réseau d’observation et d’aide à la gestion des mangroves (ROM) met à disposition, en ligne, un annuaire (1) « pour valoriser les acteurs, les projets et les compétences des Outre-mer ».

Le Réseau d’observation et d’aide à la gestion des mangroves (ROM) met à disposition, en ligne, un annuaire (1) « pour valoriser les acteurs, les projets et les compétences des Outre-mer ».
Eddine Ariztegui, adjoint au maire délégué à la condition animale et élu du Parti animaliste, dénonce une mise à mort injustifiée et un manquement démocratique.
En dépit d’une opposition croissante à ces réjouissances cruelles, Arfeuilles et Saint-Bonnet-près-Riom ont finalement décidé de continuer à sacrifier des oies, canards, poules et lapins pour distraire les foules. Nous montons une nouvelle fois au créneau.
L214 publie une enquête sur les conditions d’abattage des animaux à l’abattoir public de Porto-Vecchio en Corse.
Dans cet épisode, je reviens sur ce chemin intérieur et extérieur, qui m’a permis de me sentir autorisé à écrire. Autorisé par un ensemble de conditions : matérielles, culturelles, relationnelles… qui permettent de l’envisager puis de se sentir légitime et d’y arriver. Mais ça ne s’est pas construit du jour au lendemain.
A nouveau, nous avons saisi en extrême urgence ce même tribunal dans le cadre d’un référé liberté. Et, une fois encore, celui-ci a suspendu l’arrêté en rappelant que ces tirs ne peuvent en aucun cas être menés de jour, c’est-à-dire après 8h du matin. Une victoire partielle pour les ours, donc, qui devraient néanmoins continuer à faire l’objet de ces tirs effrayants, aux conséquences dramatiques pour les femelles et leurs petits, pendant la nuit.
Identifiés entre 5 800 et 9 533 m de profondeur, ces êtres vivent non pas de la photosynthèse — comme une grande partie des organismes terrestres — mais de la chimiosynthèse.
Voilà le triste spectacle qui fut donné le 13 juillet dernier, à l’occasion d’une corrida organisée à Céret (Pyrénées-Orientales) et dont nous publions des images inédites.
La scène est éprouvante. Prostré dans un coin des parties communes d’un immeuble de Pierrefitte-sur-Seine, Rio présente des plaies saignantes sur le corps et des hématomes au niveau de la gueule.
Deux organisations de défense de la cause animale ont annoncé avoir porté plainte contre la direction du zoo après « l’abattage de 12 singes en parfaite santé ». Le zoo a « mis son projet à exécution » alors que « d’autres institutions étaient prêtes à accueillir les babouins »