Derrière ce divertissement qui se veut « convivial », des frayeurs, des griffures, des cris et des cochons paniqués. Nous demandons l’arrêt immédiat de cette pratique.
Derrière ce divertissement qui se veut « convivial », des frayeurs, des griffures, des cris et des cochons paniqués. Nous demandons l’arrêt immédiat de cette pratique.
Un lanceur d’alerte, choqué par ce qu’il a vu, a documenté la détention d’animaux dans des conditions totalement inadaptées, voire cruelles.
Dénommé EIR (Environmental Implementation Review), cet examen est un outil important pour déterminer si l’État français est un bon élève… Il fait suite notamment à la réunion du 2 juillet, lors de laquelle nous avons été reçus par la Direction générale pour l’environnement de la Commission européenne.
À Dieppe, en 2025, on accepte encore sans honte que plus de 80 animaux sauvages soient parqués, trimballés, humiliés sous un chapiteau pour divertir quelques spectateurs.
Alors que partout ailleurs les villes interdisent les cirques avec animaux, Dieppe reste scotchée au passé, complice d’un spectacle de souffrance et d’exploitation.
Son but ? Produire en grande quantité pour répondre à la demande française et plus encore la stimuler. Derrière cette course au profit se profilent des pollutions dévastatrices, tandis que le bien-être des saumons est quant à lui anéanti d’un coup de filet…
Nous continuons à nous battre pour que captifs ou libres, ils puissent vivre dignement, sans être victimes de la hausse des températures causée par les humains.
Après les suspensions en urgence prononcées l’année dernière, les préfets s’acharnent de nouveau cette année. Il s’agit de périodes complémentaires ouvertes du 1er juin au 14 septembre 2025 (une petite avancée dans le Morbihan, qui ouvrait celle-ci quinze jours plus tard qu’en 2024).
Il est temps d’y mettre un terme. Il est possible de se divertir sans terroriser des animaux.
Ces documents mettent au jour la réalité de l’expérimentation animale: en plus de souffrir sous les scalpels, les animaux utilisés ne sont même pas convenablement protégés par les rares garde-fous prévus par la réglementation
Animaux sauvages et familiers, flore et humains sont menacés par des risques sanitaires potentiels. Le temps passe, et pourtant, l’opacité règne : la préfecture du Loir-et-Cher ne donne aucun détail sur les vérifications de l’eau.