Trop occupés à se disputer un malheureux morceau de plastique, ils ne se sont pas aperçu qu’ils étaient “libres”. Un troisième se balade, non loin des dromadaires…

Trop occupés à se disputer un malheureux morceau de plastique, ils ne se sont pas aperçu qu’ils étaient “libres”. Un troisième se balade, non loin des dromadaires…
Mais l’heure n’est pas à la célébration : malgré leur statut d’espèce protégée, les menaces de braconnage rôdent et des arrêtés prévoyant des tirs sont publiés alors que la période de reproduction est en cours.
En dépit d’une opposition croissante à ces réjouissances cruelles, Arfeuilles et Saint-Bonnet-près-Riom ont finalement décidé de continuer à sacrifier des oies, canards, poules et lapins pour distraire les foules. Nous montons une nouvelle fois au créneau.
A nouveau, nous avons saisi en extrême urgence ce même tribunal dans le cadre d’un référé liberté. Et, une fois encore, celui-ci a suspendu l’arrêté en rappelant que ces tirs ne peuvent en aucun cas être menés de jour, c’est-à-dire après 8h du matin. Une victoire partielle pour les ours, donc, qui devraient néanmoins continuer à faire l’objet de ces tirs effrayants, aux conséquences dramatiques pour les femelles et leurs petits, pendant la nuit.
Voilà le triste spectacle qui fut donné le 13 juillet dernier, à l’occasion d’une corrida organisée à Céret (Pyrénées-Orientales) et dont nous publions des images inédites.
Pour empêcher une véritable hécatombe et dire stop à ces dérives, One Voice demande la suspension immédiate de cet arrêté. Rendez-vous à l’audience du 1er août à 10 h au tribunal administratif de Nîmes.
Normalement interdits, ces combats bénéficient aujourd’hui encore d’une dérogation inacceptable dans certaines localités. Pour que ce loisir soit définitivement abandonné, nous avons saisi le préfet du Nord et le maire de Saint-Martin-Lez-Tatinghem.
Après avoir fait suspendre un arrêté préfectoral autorisant des tirs d’effarouchement contre les ours en Ariège, l’association One Voice critique la signature d’un nouveau texte. Elle accuse la préfecture de
Les ours de l’estive d’Arreau et leurs petits n’auront plus à subir les détonations à répétition. Quelques jours de répit… jusqu’au prochain arrêté. Que nous serons là pour attaquer, pour que les ours aient enfin la paix
Le programme d’Aquafrais est simple: il s’agit de supprimer certaines de ses fermes de petite taille, au Cap d’Antibes et à Théoule-sur-Mer, et d’ajouter à son activité un nouvel élevage de bars et de daurades, qui fera pour sa part pas moins de 24000 mètres carrés, soit l’équivalent de la superficie de trois terrains de football.