Depuis plusieurs années, l’ASPAS, AVES et One Voice attaquent partout où elles le peuvent, avec le soutien de nombreuses associations locales, les arrêtés préfectoraux autorisant cette pratique en dehors de la saison de chasse, dès le 15 mai.
Depuis plusieurs années, l’ASPAS, AVES et One Voice attaquent partout où elles le peuvent, avec le soutien de nombreuses associations locales, les arrêtés préfectoraux autorisant cette pratique en dehors de la saison de chasse, dès le 15 mai.
L’homme, qui détenait ces animaux dans un camion dont ils ne sortaient presque jamais, a été condamné en 2022. Un jugement historique dont il a interjeté appel. Lundi 6 octobre, à 13h30, nous serons présents à la cour d’appel d’Amiens pour défendre une nouvelle fois ceux qu’il a maltraités.
Dans le Tarn, le cas de l’établissement « Au cœur des félins » illustre les dérives d’un système à bout de souffle, entre exploitation animale, lois bafouées et silence des autorités. Pendant ce temps, les tigres naissent… pour une vie en cage.
Le gouvernement a publié ce mardi deux arrêtés au Journal officiel autorisant la capture d’alouettes des champs à l’aide de filets pour la saison 2025-2026. Cette pratique, connue sous le nom de chasse aux « pantes », est désormais encadrée dans quatre départements du Sud-Ouest.
En plus d’avoir maintenu en captivité ces animaux, dont plusieurs ont été saisis dans un état préoccupant, ils sont accusés d’avoir procédé à des captures dans la nature, notamment à l’aide de gluaux, ou encore d’avoir relâché des individus d’espèces exotiques envahissantes.
« C’est écœurant et choquant ». La présidente de l’association de protection des animaux One Voice, Muriel Arnal, est scandalisée suite à la diffusion d’une vidéo montrant un soignant du Marineland d’Antibes en train de « stimuler sexuellement » Keijo, l’orque mâle du parc.
Sous le soleil, un calvaire quotidien. Le signalement qui nous a été fait témoigne de chevaux amaigris, cherchant désespérément à s’hydrater dans des abreuvoirs où stagnaient plus d’algues que d’eau.
Et comme l’a rappelé la DDPP de l’Allier à la municipalité après notre signalement du 5 août dernier, c’est aussi et surtout illégal !
Trop occupés à se disputer un malheureux morceau de plastique, ils ne se sont pas aperçu qu’ils étaient “libres”. Un troisième se balade, non loin des dromadaires…
Mais l’heure n’est pas à la célébration : malgré leur statut d’espèce protégée, les menaces de braconnage rôdent et des arrêtés prévoyant des tirs sont publiés alors que la période de reproduction est en cours.