Au cœur des forêts et savanes africaines, une crise silencieuse menace la biodiversité exceptionnelle du continent. Des espèces emblématiques tombent sous l’emprise d’un piège en apparence rudimentaire, mais d’une redoutable efficacité : le collet.
Au cœur des forêts et savanes africaines, une crise silencieuse menace la biodiversité exceptionnelle du continent. Des espèces emblématiques tombent sous l’emprise d’un piège en apparence rudimentaire, mais d’une redoutable efficacité : le collet.
La Bolivie est une terre de contrastes. Entre plaines inondées, savanes arides et forêts sèches, des territoires presque intacts abritent une biodiversité exceptionnelle et soutiennent la vie de communautés locales depuis des siècles
En plus d’avoir maintenu en captivité ces animaux, dont plusieurs ont été saisis dans un état préoccupant, ils sont accusés d’avoir procédé à des captures dans la nature, notamment à l’aide de gluaux, ou encore d’avoir relâché des individus d’espèces exotiques envahissantes.
Avant d’arriver au sanctuaire de Humane World for Animals Black Beauty Ranch, un marmoset nommé George avait une existence solitaire en tant qu' »animal de compagnie » de quelqu’un, gardé en cage dans un sous-sol du Wisconsin. Les autorités ont répondu à une plainte selon laquelle un primate ne recevait pas de soins appropriés et l’ont confisqué. Black Beauty Ranch s’est mobilisé pour lui fournir des soins à vie, où il a rejoint Cali, une marmotte qui a été abandonnée au sanctuaire par son ancien propriétaire en Floride qui s’est rendu compte qu’elle avait besoin de plus d’espace.
Les marmous sont des animaux sauvages sociaux qui ont besoin d’interaction avec d’autres de leur propre espèce. Maintenant, George, 3 ans, et Cali, 7 ans, partagent leur grand habitat naturel au sanctuaire où ils peuvent passer le reste de leur vie à exprimer leurs comportements naturels, comme grimper aux arbres, sauter de branche en branche et s’accrocher à l’envers.
Mais au-delà du drame humain, les animaux ont eux aussi payé un lourd tribut, entre les animaux domestiques qui n’ont pas pu être évacués, et la faune sauvage qui n’a pas pu s’enfuir.
Dans les locaux de l’école nationale vétérinaire située à Maisons-Alfort, le service d’urgence ne désemplit pas pendant la saison chaude.
L’IG Wild beim Wild (Union pour la conservation de la faune sauvage) souligne l’idée reçue selon laquelle manger des animaux sauvages serait plus humain que consommer de la viande provenant d’élevages industriels, car de nombreux animaux souffrent longtemps après avoir été abattus.
La FBB, partenaire de 25 ans du CHENE, a cofinancé un appareil de radiologie et s’est rendue à son inauguration.
Avant cette acquisition, chaque diagnostic nécessitait le déplacement stressant des animaux vers un cabinet vétérinaire extérieur. Aujourd’hui, les équipes peuvent établir des diagnostics précis directement sur place, réduisant considérablement le stress des patients sauvages.
S’il faut faire la queue pour déposer ces bêtes blessées en cette grise journée de juillet, ce n’est rien comparé à la foule qui s’est pressée devant le centre lors de la canicule du début de l’été
Sans appel ! L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) vient de publier son avis scientifique – très attendu par la Fondation 30 Millions d’Amis – sur « le bien-être des animaux élevés pour leur fourrure » à la demande de la Commission européenne (30/07/25).