Si on devait tenir le couteau, est-ce qu’on continuerait à manger des animaux?
Changeons de regard 👉 www.vegan-pratique.fr

Si on devait tenir le couteau, est-ce qu’on continuerait à manger des animaux?
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Et si la domination de la nature n’était pas seulement un désastre écologique, mais aussi une matrice de notre propre autodestruction ? Dans cet échange percutant, Amadeus explique pourquoi le combat pour la cause animale dépasse le cadre du véganisme : il s’agit d’un renversement total de civilisation. Ce n’est pas une mode, c’est une urgence éthique, politique et climatique. Il démonte les illusions de liberté individuelle, les mécanismes d’exploitation systémique, et propose un changement culturel radical où les animaux, la planète, et les humains ne sont plus des ressources, mais des sujets de respect. Une révolution mentale à mener d’urgence, pour sortir d’un monde basé sur la prédation.
Depuis de la fermeture, 12 dauphins et 2 orques vivent encore dans les bassins de Marineland… ( Algues, béton fissuré, eau verte… )
Cette vidéo a un but informatif et journalistique, pas d’incitation.
Nous partageons le constat que la dette est trop élevée et pèse sur l’économie. Mais une politique d’austérité n’est pas la solution. D’autres pistes existent pour résorber le déficit, sans sacrifier les animaux, ni réduire le pouvoir d’achat de la population.
Le saviez-vous? Régulièrement, des animaux en parfaite santé logés dans des zoos sont… abattus.
« Pour moi, cet accord de coopération est la première étape de ce que nous pouvons accomplir entre la Global Humane Society et les différentes parties prenantes et partenaires hongrois »
A la suite de l’incendie dévastateur qui a ravagé près de 17 000 hectares cet été dans les Corbières, l’ASPAS appelle à un moratoire de toute chasse et de toute destruction de la faune sauvage, pour un an au minimum.
Avec votre aide, nous pouvons arrêter la fourrure à la source. L’industrie de la mode est en train de changer et il est temps de laisser la cruauté envers les animaux derrière elle. Rejoignez-nous pour construire un avenir enraciné dans la compassion, pas dans la fourrure.
Pourtant, les études sont formelles : avoir des animaux de compagnie booste l’épanouissement personnel, mais pas seulement.
Pourtant, pendant les 7 000 ans précédant cette époque, la taille des animaux domestiques et sauvages évoluait de manière synchrone et analogue, suggérant que les changements environnementaux et climatiques influençaient alors davantage cette évolution morphologique.