la production de soja destiné à l’alimentation animale maintient une pression directe sur des zones protégées et des territoires indigènes, au détriment des populations locales, du climat, de la souveraineté alimentaire et de la condition animale.
la production de soja destiné à l’alimentation animale maintient une pression directe sur des zones protégées et des territoires indigènes, au détriment des populations locales, du climat, de la souveraineté alimentaire et de la condition animale.
Comme l’explique Annik Schnitzler, écologue spécialiste des forêts tempérées, « ce ne sont pas les chevreuils qui déboisent les forêts, ce sont les engins forestiers » . Les plantations artificielles, en monoculture, fragiles et peu résilientes, sont davantage affectées par l’abroutissement que les forêts naturelles diversifiées.
Le label Territoires de faune sauvage est la déclinaison française du label européen Wildlife Estates, créé en 2005 par la fédération European Landowners Organization. Son objectif est de mettre en valeur les territoires qui réussissent à concilier activités socio-économiques et préservation de la biodiversité.
La COP 30 a lieu cette année à Belém, dans la région du Para, une région symbolique, car au cœur de la déforestation brésilienne.
Même si les données parfois fragmentaires rendent les comparaisons difficiles, le Japon a été parmi les pays du monde les plus touchés par des attaques mortelles ces dernières années.
Alors, est-ce qu’on peut être écolo et manger des animaux ? Bien-sûr que non 🫠
Clarisse t’explique tout !
Scientifique reconnu, Leonid Pshenichnov milite depuis des années au sein de la CCAMLR, l’organisation internationale chargée de protéger la vie marine antarctique, pour instaurer des quotas de pêche durables.
Le lendemain, le 5 novembre, la préfecture du département a publié un arrêté interdisant les travaux forestiers et tout transport de bois ou d’écorce dans un rayon de 20 km autour des arbres infestés.
Pour stopper cette hécatombe, One Voice interpelle le ministère de la Transition écologique pour réclamer l’abandon pur et simple de ce projet mortifère, et la disparition du statut inique des ESOD !
A la tombée du jour, les éclairages urbains s’allument et les êtres de la nuit prennent le relais. Les milieux urbains et péri-urbains accueillent un nombre important d’espèces nocturnes : rapaces,