Les scientifiques se doutaient déjà que la pollution lumineuse, qui contamine 23 % de la surface terrestre, avait un effet sur les oiseaux.
Les scientifiques se doutaient déjà que la pollution lumineuse, qui contamine 23 % de la surface terrestre, avait un effet sur les oiseaux.
« Dipteryx oleifera », l’un des plus grands arbres de la forêt tropicale humide, a évolué pour attirer la foudre. Loin de l’affaiblir, être frappé par des éclairs renforce cet arbre essentiel à son écosystème.
Devant nous s’élèvent des plants verticaux agrippés à un système de fils suspendus à deux mètres cinquante de haut. Au terme de leurs tiges feuillues, des cosses tigrées abritent une précieuse graine violette et blanche. «Et voici le haricot-viande !»
Des militants d’Extinction Rebellion se sont assis sur la route, bloquant l’accès à la raffinerie de Mongstad, à Bergen, sur la côte sud-ouest de la Norvège, tandis qu’un groupe de kayaks et de bateaux à voile bloquaient l’entrée portuaire.
Si l’humanité doit vivre avec les conséquences du toujours plus fort, toujours plus loin, toujours plus vite, doit-elle aussi vivre avec les conséquences du toujours plus profond ?
En Russie, sur fond d’offensive en Ukraine et de répression de toute voix dissidente, la lutte pour la protection de l’environnement est devenue une affaire risquée.
Ces outils de fortune sont la meilleure arme de l’association Korero O Te Orau (« Connaissance de la terre, du ciel et de la mer » en langue maorie) dans la guerre contre les « couronnes d’épines », une espèce d’étoiles de mer qui se nourrit de corail et dévore les récifs tropicaux.
#SOAWA est une plate-forme annuelle de haut niveau qui rassemble des dirigeants du gouvernement, du milieu universitaire, de la société civile et du secteur du bien-être animal pour réfléchir aux progrès, aux défis et à l’orientation future du bien-être animal en Afrique du Sud.
Une étude portant sur cinq espèces australiennes communes, dont les kookaburras, les pies et les loriquets, a révélé qu’environ 6% des oiseaux présentaient les chromosomes d’un sexe mais les organes reproducteurs d’un autre.
Ces résultats suggèrent que le changement climatique menace d’ores et déjà grandement les populations d’oiseaux vivant dans ces régions, même en l’absence d’autres pressions humaines (déforestation, artificialisation des terres…).