Voici qu’un curieux phénomène frappe l’Australie : petit à petit, ses habitants commencent à comprendre le langage des animaux…
Voici qu’un curieux phénomène frappe l’Australie : petit à petit, ses habitants commencent à comprendre le langage des animaux…
Nouvelle saison du podcast, on commence avec cet interview de Victor Duran-Le Peuch, créateur de Comme un poisson dans l’eau et auteur de « en finir avec les idées fausses sur l’antispécisme »
A l’occasion de la sortie de son nouveau livre « Par effraction. Rendre visible la question animale » (Stock/ Philosophie Magazine), Réjane Sénac, directrice de recherche CNRS au CEVIPOF a réuni le 30 septembre à Sciences Po les acteurs, militants, représentants du mouvement animaliste, pour une rencontre/débat
Ce 5ème épisode “Pour que Nature vive” accueille Nathalie Machon, professeure d’écologie urbaine et responsable scientifique du programme de sciences participatives “Sauvages de ma rue”.
Nous avons des animaux de compagnie, mais nous avons perdu la compagnie des animaux. Nous ne voyons plus que ceux que nous tenons au bout d’une laisse, ou bien dans les zoos, les cages et les enclos. Comment fonder une société égalitaire avec les autres animaux ?
Bon, il est temps de clore cette série d’été… parce qu’on est déjà en octobre, et que le livre est enfin sortiii 💜
Dans ce dernier épisode, je reviens sur ce que j’espère que le livre pourra apporter :
🥋 un manuel d’autodéfense intellectuelle contre les arguments spécistes les plus fréquents ;
🌍 une cartographie du spécisme et de l’antispécisme pour comprendre comment tout s’articule ;
🛠️ une boîte à outils collective pour renforcer nos luttes, nourrir nos réflexions, et faire circuler les idées.
Ce dernier épisode s’ouvre sur un chant : est-ce le hurlement d’un loup ou l’aboiement d’un chien ? Ni l’un, ni l’autre. Ou plutôt : l’un et l’autre.
Chaque année, en France, 258 animaux en moyenne sont abattus par habitant. Plus nous tuons d’animaux, plus nous en consommons, plus nos mécanismes d’occultation se renforcent pour justifier cette violence non-nécessaire.
Depuis une dizaine d’années, l’écologie de la peur s’intéresse à un aspect souvent négligé : l’effet de la simple présence d’un prédateur.
Le spécisme désigne une discrimination fondée sur l’espèce. Comme le racisme et sexisme, il impose une hiérarchie systémique et arbitraire, qui justifie l’exploitation, la violence et la mise à mort de certains animaux.