Alors que le marché mondial des animaux de compagnie a généré 67 millions d’euros en 2023, on voit se multiplier une offre de services de plus en plus variée.

Alors que le marché mondial des animaux de compagnie a généré 67 millions d’euros en 2023, on voit se multiplier une offre de services de plus en plus variée.
“Je pourrais arrêter la viande, mais le fromage j’en serais incapable ».
“Je ne pourrais jamais être végane, parce que j’aime trop le fromage”.
Vous avez déjà entendu, ou prononcé ces paroles vous-même ?
Pour ce 3ème épisode, Emmanuelle Porcher, écologue et professeure du Muséum nous parle de l’importance des pollinisateurs dans notre écosystème. Véritables ouvriers de la nature, ils permettent la bonne reproduction des espèces végétales et ainsi, la continuité de la chaine alimentaire.
Un jeune renardeau découvre le monde pour la toute première fois, guidé par sa maman.
Quand l’identité transcende les limites de l’espèce. Un roman de Franck Bessière où deux destins, humain et animal, s’entrelacent dans un monde en mutation.
On croit que le plus dur, c’est d’écrire. Mais en fait… le plus dur, c’est de réécrire. Cet épisode plonge dans la phase des relectures : les retours cash des proches, les annotations qui piquent mais sauvent un chapitre, les doutes qui reviennent à chaque page, les désaccords entre relecteur·ices, les éternels « ça ne sera jamais assez bien »… et puis le moment où il faut dire stop.
Dans cette interview captivante, Émilie Dardenne, professeure des universités en études animales et co-directrice de l’Observatoire de Recherche sur la Condition Animale (ORCA-CNRS), révèle comment la culture populaire influence dramatiquement notre rapport aux animaux. Des Dents de la mer qui ont décimé les populations de requins aux 101 Dalmatiens qui ont provoqué des vagues d’abandons, découvrez l’impact concret de nos représentations culturelles sur le monde animal.
Sublime peinture de la vie sauvage, le nouveau roman de Christian Signol embrasse, avec un regard d’une grande justesse, la nature, ses acteurs et ses lois. Il célèbre l’éternité du monde vivant sans occulter les défis auxquels il est aujourd’hui, plus que jamais, confronté.
Un bon argument, sans le bon style, ça peut être… soporifique. Je m’en suis rendu compte en relisant un de mes premiers chapitres, que je trouvais « pas si mal » au départ, pour finalement me dire : « Mais c’est nul, qu’est-ce que c’est plat ! ». La claque. Je l’ai entièrement réécrit.