Mais l’heure n’est pas à la célébration : malgré leur statut d’espèce protégée, les menaces de braconnage rôdent et des arrêtés prévoyant des tirs sont publiés alors que la période de reproduction est en cours.
Mais l’heure n’est pas à la célébration : malgré leur statut d’espèce protégée, les menaces de braconnage rôdent et des arrêtés prévoyant des tirs sont publiés alors que la période de reproduction est en cours.
La préfecture en flagrant délit de déni
Une nouvelle enquête de PETA Asie sur l’industrie du tourisme marocaine a révélé que les dromadaires utilisés pour des promenades sont violemment frappés, attachés sans protection contre les éléments et abattus lorsqu’ils ne sont plus considérés « rentables ».
S’il faut faire la queue pour déposer ces bêtes blessées en cette grise journée de juillet, ce n’est rien comparé à la foule qui s’est pressée devant le centre lors de la canicule du début de l’été
Alors que l’Union européenne débat encore sur de nombreuses mesures pour améliorer le bien-être animal, la Confédération helvétique prend de l’avance et annonce de nouvelles dispositions en faveur du consommateur pour responsabiliser ses choix, alimentaires et textiles.
Sans appel ! L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) vient de publier son avis scientifique – très attendu par la Fondation 30 Millions d’Amis – sur « le bien-être des animaux élevés pour leur fourrure » à la demande de la Commission européenne (30/07/25).
Eddine Ariztegui, adjoint au maire délégué à la condition animale et élu du Parti animaliste, dénonce une mise à mort injustifiée et un manquement démocratique.
En dépit d’une opposition croissante à ces réjouissances cruelles, Arfeuilles et Saint-Bonnet-près-Riom ont finalement décidé de continuer à sacrifier des oies, canards, poules et lapins pour distraire les foules. Nous montons une nouvelle fois au créneau.
L214 publie une enquête sur les conditions d’abattage des animaux à l’abattoir public de Porto-Vecchio en Corse.
A nouveau, nous avons saisi en extrême urgence ce même tribunal dans le cadre d’un référé liberté. Et, une fois encore, celui-ci a suspendu l’arrêté en rappelant que ces tirs ne peuvent en aucun cas être menés de jour, c’est-à-dire après 8h du matin. Une victoire partielle pour les ours, donc, qui devraient néanmoins continuer à faire l’objet de ces tirs effrayants, aux conséquences dramatiques pour les femelles et leurs petits, pendant la nuit.