Un voyage poétique de 60minutes à travers le détroit de Gibraltar, à la rencontre des orques, des pêcheurs et des humains qui tentent de les comprendre.
Un voyage poétique de 60minutes à travers le détroit de Gibraltar, à la rencontre des orques, des pêcheurs et des humains qui tentent de les comprendre.
Parallèlement à ses missions traditionnelles contre la surpêche et le braconnage, Sea Shepherd France agit pour la faune sauvage en détresse grâce à son centre de soins.
Nous lançons aujourd’hui une levée de fonds pour financer la postproduction de ce voyage poétique à travers le détroit de Gibraltar, à la rencontre des orques, des humains qui tentent de les comprendre, et du lien fragile qui nous unit.
Pas pour se donner bonne conscience. Pas pour dire “la captivité, c’est fini en France”.
Ils méritent mieux que l’Espagne, mieux que la Chine, mieux qu’un transfert qui les condamne.
Oui, on veut la fin de la captivité.
Non, on ne le fera pas sur le dos de ces 12 individus.
Cette vidéo explique pourquoi nous refusons de les abandonner.
Il s’en est fallu d’un rien. Du bon vouloir, notamment, d’un tribunal de commerce… Alors délaissé par son ancien propriétaire, le zoo de Pont-Scorff avait été repris, un temps, par le groupement d’associations Rewild.
Cette année, Sea Shepherd France a lancé la mission Dolphin Bycatch Spain.
À bord du WALRUS, nous avons passé deux fois trois semaines en Galice pour révéler ce que l’industrie de la pêche tente de cacher.
La Galice, cœur de la pêche espagnole, est aussi le théâtre de pratiques illégales et destructrices.
Notre présence dérange, et c’est bien la preuve qu’il y a des choses à dénoncer.
Pourquoi le zoo de Beauval pourrait accueillir les 12 dauphins du Marineland ? Et dans quelles conditions ?
Lamya Essemlali, Présidente de Sea Shepherd France revient sur le projet, son intérêt et les garde-fous essentiels à poser.
Cétacés du Marineland : Retour sur ”l’affaire du zoo de Pont Scorff” que l’industrie de la captivité tente d’instrumentaliser pour décrédibiliser Sea Shepherd : on remet les pendules à l’heure
Mais Carrefour a le pouvoir d’agir… Et la responsabilité de montrer l’exemple.
Vous êtes un des leaders mondiaux de la grande distribution, présent dans plus de 40 pays à travers le monde. Et sur votre site internet, vous affirmez :
« Carrefour agit pour la préservation de la biodiversité, tout au long de ses chaînes d’approvisionnement. »
« Nous nous engageons à agir de manière responsable vis-à-vis de la société et de l’environnement. »
La décision de l’organisation policière internationale intervient presque un an jour pour jour après l’arrestation du fondateur de l’ONG Sea Shepherd au Groenland.