Les organisateurs de balades impliquant des animaux en Égypte ne voulaient pas que ces images soient publiées. Les plaies atroces cachées sous les selles montrent les conséquences extrêmes de ces attractions touristiques près des pyramides. Le Grand Musée égyptien vient d’ouvrir, et ils ne veulent pas que le public voie l’immense souffrance causée par cette industrie archaïque. Aidez-nous à mettre fin à ce cauchemar.
PETA Asie avait déjà rendu compte de la mort de centaines de chevaux utilisés pour des promenades en Égypte, mais le nombre de corps n’a jamais été aussi élevé. Avec l’ouverture du Grand Musée égyptien le 1er novembre, un nombre sans précédent de chevaux morts est jeté juste à côté du complexe pyramidal de Gizeh. Les chevaux survivants sont souvent dangereusement maigres et souffrent de blessures non traitées. Cette industrie cruelle doit prendre fin immédiatement.
En Égypte, les touristes bienveillants sont dupés et encouragés à soutenir une industrie où les animaux sont battus, traînés dans les rues et forcés à travailler jusqu’à l’épuisement. PETA appelle le gouvernement égyptien à mettre fin à cette exploitation et demande aux visiteurs et visiteuses de ne jamais faire de promenades impliquant ces animaux maltraités.
L’affiche de PETA montre une poissonnière tenant un poisson mort, puis la même scène avec un chat ; le slogan interpelle : « Vous voyez une différence ? Ouvrez les yeux. Chaque animal est un individu. Devenez végan. »
« J’ai voulu prendre part à cette action aux côtés de PETA car visionner des images de taureaux torturés à mort pendant des corridas m’a bouleversé et devrait glacer le sang de toute personne dotée d’un minimum d’empathie, » déclare Jeremstar.
Des images choquantes issues d’une nouvelle enquête de PETA Asie révèlent les conditions sordides et la souffrance des animaux du zoo Pata de Bangkok, situé dans les derniers étages du grand magasin Pata, notamment un singe atteint d’une grave maladie de peau qui fait les cent pas dans un enclos en béton dépourvu de toute végétation.
Une coïncidence savoureuse, qui mérite d’être célébrée comme il se doit. L’association a donc lancé une invitation pleine d’enthousiasme à son heureux homonyme : imaginer une version végane d’une spécialité de sa région, en hommage à ce nom commun… et à des valeurs que PETA espère voir partagées.
C’est une pratique courante dans l’industrie de l’agneau en Australie. De nouvelles images montrent des travailleurs tirant violemment les agneaux par leurs pattes fragiles – des scènes qui rappellent les enquêtes de PETA dans le monde entier.
Une nouvelle enquête de PETA Asie sur l’industrie du tourisme marocaine a révélé que les dromadaires utilisés pour des promenades sont violemment frappés, attachés sans protection contre les éléments et abattus lorsqu’ils ne sont plus considérés « rentables ».
Avec ce geste à la fois audacieux et respectueux, l’association souhaite rendre hommage à un savoir-faire français emblématique, tout en ouvrant la porte à une réflexion d’avenir : et si Roquefort se lançait dans l’aventure d’un fromage bleu végan ?
