Un voyage poétique de 60minutes à travers le détroit de Gibraltar, à la rencontre des orques, des pêcheurs et des humains qui tentent de les comprendre.
Un voyage poétique de 60minutes à travers le détroit de Gibraltar, à la rencontre des orques, des pêcheurs et des humains qui tentent de les comprendre.
Les premières images confirment leurs craintes : un petit corps flotte, apparemment inerte, au centre du groupe. Puis survient le moment qui change tout. Le baleineau bouge. Il est vivant.
Le parc animalier Marineland d’Antibes, dans les Alpes-Maritimes, exhorte les pouvoirs publics à oeuvrer pour le transfert des derniers cétacés qu’il héberge, dans une lettre ouverte consultée mardi par l’AFP.
Depuis de la fermeture, 12 dauphins et 2 orques vivent encore dans les bassins de Marineland… ( Algues, béton fissuré, eau verte… )
Cette vidéo a un but informatif et journalistique, pas d’incitation.
On nous pose souvent les questions suivantes :
Pourquoi les orques interagissent-elles avec les voiliers ?
Que faire en cas d’interaction ?
À cette dernière question, deux théories s’opposent.
« C’est écœurant et choquant ». La présidente de l’association de protection des animaux One Voice, Muriel Arnal, est scandalisée suite à la diffusion d’une vidéo montrant un soignant du Marineland d’Antibes en train de « stimuler sexuellement » Keijo, l’orque mâle du parc.
Si de nombreuses espèces sont représentées comme les araignées, les orangs-outans ou encore les crabes boxeurs, un animal a surpris les téléspectateurs : l’orque
Les spécialistes cherchent à expliquer ce comportement du cétacé, considéré comme l’un des plus grands prédateurs marins.
Le parc, fermé depuis janvier, nous a invité à venir constater que les cétacés n’étaient pas abandonnés. Leur avenir demeure néanmoins incertain.
« Il est urgent que vous preniez vos responsabilités pour régler cette situation que vous avez vous-même provoquée (… et) dont vous serez tenue responsable le moment venu »