Depuis de la fermeture, 12 dauphins et 2 orques vivent encore dans les bassins de Marineland… ( Algues, béton fissuré, eau verte… )
Cette vidéo a un but informatif et journalistique, pas d’incitation.

Depuis de la fermeture, 12 dauphins et 2 orques vivent encore dans les bassins de Marineland… ( Algues, béton fissuré, eau verte… )
Cette vidéo a un but informatif et journalistique, pas d’incitation.
On nous pose souvent les questions suivantes :
Pourquoi les orques interagissent-elles avec les voiliers ?
Que faire en cas d’interaction ?
À cette dernière question, deux théories s’opposent.
« C’est écœurant et choquant ». La présidente de l’association de protection des animaux One Voice, Muriel Arnal, est scandalisée suite à la diffusion d’une vidéo montrant un soignant du Marineland d’Antibes en train de « stimuler sexuellement » Keijo, l’orque mâle du parc.
Si de nombreuses espèces sont représentées comme les araignées, les orangs-outans ou encore les crabes boxeurs, un animal a surpris les téléspectateurs : l’orque
Les spécialistes cherchent à expliquer ce comportement du cétacé, considéré comme l’un des plus grands prédateurs marins.
Le parc, fermé depuis janvier, nous a invité à venir constater que les cétacés n’étaient pas abandonnés. Leur avenir demeure néanmoins incertain.
« Il est urgent que vous preniez vos responsabilités pour régler cette situation que vous avez vous-même provoquée (… et) dont vous serez tenue responsable le moment venu »
Que penser de ces rencontres ? Les orques présentées dans cette étude mangent du poisson, elles n’ont pas démontré de comportements agressifs et aucun des jeunes globicéphales ne semblaient blessés. Les chercheurs ont donc tendance à rejeter l’hypothèse de la prédation.
L’eau est foncée, parfois verte. L’association diffuse ces images avec une musique dramatique, accompagnés de ce commentaire : « Deux orques et seize dauphins [il y en a 12 en réalité, Ndlr] abandonnés à Marineland après sa fermeture (…) enfermés dans des bassins dégradés. »
Il attend un feu vert des autorités locales pour ouvrir ses portes… depuis plus de six ans. En Grèce, un sanctuaire marin naturel unique de plus de 30 000 m2, situé dans la baie de Vroulia, sur l’île de Lipsi, a pour objectif d’accueillir et de soigner des mammifères marins sauvages ou captifs.