Par notre première salve de recours, le tribunal de Clermont-Ferrand vient de mettre un coup d’arrêt sur les périodes complémentaires dans l’Allier. Un signal fort qui n’a pas été suivi pour les départements voisins auvergnats.
Par notre première salve de recours, le tribunal de Clermont-Ferrand vient de mettre un coup d’arrêt sur les périodes complémentaires dans l’Allier. Un signal fort qui n’a pas été suivi pour les départements voisins auvergnats.
Triplement des capacités d’élevage à Rousset, importations de macaques à Silabe, extension de l’élevage de microcèbes à Brunoy : derrière les mots feutrés des chercheurs, des centaines d’individus voient leur vie brisée.
La raison invoquée ? Prévenir les dégâts agricoles… alors même que des alternatives existent et que les tirs ne sont d’aucune efficacité ! Nous, One Voice, avec Bretagne Vivante et la LPO Bretagne, demandons la suspension en urgence de ces autorisations
Belinda, Pira et Thai. Trois éléphantes, chacune âgée d’environ soixante ans, que nous connaissons bien. Trois vies marquées par la captivité, la contrainte, la répétition mécanique de gestes appris dans la peur.
Cet événement, mené par Alliance Éthique et One Voice sous l’étiquette « Stoppons la Corrida », rassemble de nombreuses associations partenaires. Nous y sensibiliserons le public et porterons nos revendications pour épargner les taureaux et les chevaux, victimes de cette pratique sanglante.
One Voice se mobilise pour alerter l’opinion sur cette situation et l’hypocrisie du système.
Le 14 mai, l’organisme privé a publié un communiqué prétendant « rétablir les faits », réfutant tout problème et tentant de discréditer notre travail en produisant une série de documents censés justifier sa gestion des animaux. Or, l’analyse attentive de ces derniers — que la SACPA a elle-même rendus publics — ne fait que confirmer la gravité des faits dénoncés notamment dans nos vidéos.
Le 7 mai dernier, nous diffusions des images d’un lanceur d’alerte montrant un chameau détenu par le Cirque Tony Zavatta alors installé à Luçon.
Le couple de loups si particulier continue d’être la cible de tirs sur le plateau de Millevaches. À peine l’attaque de jeudi dernier annoncée, les syndicats agricoles déversent déjà leur torrent de haine sur la place publique.
Avec nous, écrivez au préfet pour exiger l’interdiction de ces tueries de masse et lui rappeler que la loi n’est pas une option, surtout quand des milliers de vies sont en jeu !