L’année dernière, plus de 620’000 tonnes de krill ont été pêchées dans l’océan Austral. À elle seule, Aker BioMarine a capturé 64% du total, principalement pour fournir une nourriture bon marché aux saumons d’élevage.
L’année dernière, plus de 620’000 tonnes de krill ont été pêchées dans l’océan Austral. À elle seule, Aker BioMarine a capturé 64% du total, principalement pour fournir une nourriture bon marché aux saumons d’élevage.
Océans en danger : tortues, baleines et poissons menacés ! – Sur le front avec Hugo Clément
Les forêts de laminaires, ces étendues impressionnantes d’algues brunes qui bordent nos côtes, jouent un rôle fondamental dans la préservation de la vie marine. Pourtant, ces dernières années, elles se
Une partie des bénéfices sera reversée à l’association “Le Mouvement Bleu”, fondée par Tom Frager, pour financer des actions de sensibilisation à la préservation des mers.
Les plus vieux habitants de l’océan reconnaissent-ils encore la mer dans laquelle ils sont nés ?
En cause : l’acidification progressive des océans, causée par nos émissions galopantes de CO2. Même leur incroyable capacité à renouveler leurs dents « pourrait ne pas suffire à suivre le rythme des dommages », alertent les scientifiques.
On ne les voit pas, on ne les sent pas, mais ils sont là. Entre les fragments de sel et d’algues, des récifs coralliens aux fosses insondables : partout dans l’océan, on trouve des pesticides.
Une zone protégée géante de 640.000 km², l’une des plus grandes du monde, a été mise en place en 2010 dans cette région actuellement sous souveraineté britannique mais dont le contrôle doit à l’avenir revenir à l’île Maurice. La pêche commerciale et les activités extractives y sont interdites.
Près d’un million de crabes en fer à cheval sont pris dans la nature chaque année et utilisés pour leur sang bleu, qui contient une protéine spéciale qui peut tester la contamination des produits médicaux. Une fois capturés, ils sont transportés vers des laboratoires, où ils sont attachés à des contraintes. Ils sont percés à travers le cœur, de sorte que jusqu’à un tiers de leur sang peut être lentement drainé avant d’être renvoyés dans l’océan. Après cette épreuve, ces animaux sont souvent trop faibles pour se débrouiller seuls dans la nature ; beaucoup sont laissés morts ou blessés.
Identifiés entre 5 800 et 9 533 m de profondeur, ces êtres vivent non pas de la photosynthèse — comme une grande partie des organismes terrestres — mais de la chimiosynthèse.