le cinéaste Jean-Michel Bertrand appelle à cesser « d’instrumentaliser » cet animal « à des fins électoralistes », en présentant « une réponse simpliste à un problème complexe ».
le cinéaste Jean-Michel Bertrand appelle à cesser « d’instrumentaliser » cet animal « à des fins électoralistes », en présentant « une réponse simpliste à un problème complexe ».
Le loup est présent dans le Vaucluse depuis environ 2010, mais une récente étude a révélé une information surprenante sur son régime alimentaire.
Le couple de loups si particulier continue d’être la cible de tirs sur le plateau de Millevaches. À peine l’attaque de jeudi dernier annoncée, les syndicats agricoles déversent déjà leur torrent de haine sur la place publique.
En Saône-et-Loire, la seule réponse à l’arrivée des loups sur le territoire est des tirs létaux. L’État a choisi la mort systématiquement et ces cousins sauvages des chiens ont été abattus les uns après les autres, en 2020, 2021 et 2023.
Devant la vitre, à deux pas du public, une ourse se promène de long en large. Quelques mètres au-dessus d’elle, trois louves la regardent à peine.
La haine du monde de l’élevage envers toute forme de vie sauvage ne doit pas mettre en péril cette famille en devenir.
Ses longs poils retiennent la terre séchée de la pâture bocagère. C’est son seul point commun physique avec les 130 moutons qui broutent autour d’elle.
Nous continuons à nous battre pour tous les survivants, forts de notre succès au prétoire et espérons que cette décision positive en entraînera de nombreuses autres à l’avenir.
Des louvetiers sont ainsi postés chaque soir sur le plateau de Millevaches en attendant d’avoir les canidés dans leur viseur.
Cette décision sans précédent met en péril des années d’efforts de conservation en Europe. Elle envoie un mauvais message à un moment où la biodiversité est menacée.