Pendant que tous les regards sont braqués sur le loup « mal aimé » d’Intermarché, une autre réalité se joue en coulisses, qui fait grogner les défenseurs des animaux.
Pendant que tous les regards sont braqués sur le loup « mal aimé » d’Intermarché, une autre réalité se joue en coulisses, qui fait grogner les défenseurs des animaux.
Présenté comme une simple « mise en cohérence » avec la nouvelle directive européenne, ce texte ouvre pourtant la porte à une régulation bien plus intense des loups, voire une chasse au loup, sans garantir l’évaluation indispensable de l’état de conservation de l’espèce (pourtant obligatoire) à l’échelle nationale et locale.
L’association de protection de la nature Carduelis, dont le siège est à Puy-Malsignat en Creuse, suit de près cette horde. Elle ne s’explique toujours pas la disparition du jeune loup.
Une caméra a capté un individu sauvage en train de hisser à terre un piège à crabes – une tâche normalement réservée aux humains – afin d’atteindre un appât situé à l’intérieur.
Les chasseurs grecs affirment depuis longtemps que la population des loups en Grèce est bien plus élevée que les estimations officielles, ce qui accroît la menace pour les chiens de chasse et le bétail.
Pour rappel, le déclassement du loup s’accompagne de l’obligation pour les États de garantir la viabilité de l’espèce, et que les possibles mesures de « gestion » prises par les États restent compatibles avec le maintien de la population dans un état de conservation favorable.
A chaque fois, l’animal allait attaquer un troupeau. Au total, 47 animaux ont été tués par le loup dans le Jura en 2025.
Pierre Jouventin a été durant quarante ans directeur de recherche au CNRS, où il étudiait le comportement des oiseaux et mammifères, et durant treize ans, au même CNRS, directeur d’un laboratoire d’écologie des animaux sauvages. Il est l’auteur de nombreux livres, dont La Vérité sur le loup, ce mal-aimé (2024, éd. Alpha/Humensis).
Mais l’heure n’est pas à la célébration : malgré leur statut d’espèce protégée, les menaces de braconnage rôdent et des arrêtés prévoyant des tirs sont publiés alors que la période de reproduction est en cours.
la préfecture a décidé de mobiliser dès ce mercredi soir les lieutenants de louveterie sur l’exploitation de Jérôme Planchot. En cas de rencontre avec le loup, ils sont autorisés à prélever un, voir, sous certaines conditions, plusieurs spécimens