Mais au-delà du drame humain, les animaux ont eux aussi payé un lourd tribut, entre les animaux domestiques qui n’ont pas pu être évacués, et la faune sauvage qui n’a pas pu s’enfuir.

Mais au-delà du drame humain, les animaux ont eux aussi payé un lourd tribut, entre les animaux domestiques qui n’ont pas pu être évacués, et la faune sauvage qui n’a pas pu s’enfuir.
Dans les locaux de l’école nationale vétérinaire située à Maisons-Alfort, le service d’urgence ne désemplit pas pendant la saison chaude.
L’IG Wild beim Wild (Union pour la conservation de la faune sauvage) souligne l’idée reçue selon laquelle manger des animaux sauvages serait plus humain que consommer de la viande provenant d’élevages industriels, car de nombreux animaux souffrent longtemps après avoir été abattus.
La FBB, partenaire de 25 ans du CHENE, a cofinancé un appareil de radiologie et s’est rendue à son inauguration.
Avant cette acquisition, chaque diagnostic nécessitait le déplacement stressant des animaux vers un cabinet vétérinaire extérieur. Aujourd’hui, les équipes peuvent établir des diagnostics précis directement sur place, réduisant considérablement le stress des patients sauvages.
S’il faut faire la queue pour déposer ces bêtes blessées en cette grise journée de juillet, ce n’est rien comparé à la foule qui s’est pressée devant le centre lors de la canicule du début de l’été
Sans appel ! L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) vient de publier son avis scientifique – très attendu par la Fondation 30 Millions d’Amis – sur « le bien-être des animaux élevés pour leur fourrure » à la demande de la Commission européenne (30/07/25).
Ce projet vise à protéger la chouette effraie et la chouette chevêche à l’échelle de la France, deux espèces dont la population est en déclin du fait de la disparition de leurs sites de nidification.
Située le long de la frontière entre la Tanzanie et le Kenya, l’équipe protège les 2 000 éléphants du parc ainsi que l’ensemble des animaux sauvages
Selon lui, il est possible de limiter les nuisances des blaireaux, des fouines ou même des rats tout en profitant de leurs richesses.
Ici, à Allouville-Bellefosse, le CHENE (Centre d’Hébergement et d’Étude sur la Nature et l’Environnement) soigne, accueille, observe et défend la faune normande depuis plus de quarante ans.