Organisé tous les quatre ans, ce congrès rassemble des gouvernements, des ONG, des représentants de peuples autochtones, des scientifiques et des jeunes afin de définir les priorités mondiales en matière de conservation.

Organisé tous les quatre ans, ce congrès rassemble des gouvernements, des ONG, des représentants de peuples autochtones, des scientifiques et des jeunes afin de définir les priorités mondiales en matière de conservation.
Il s’en est fallu d’un rien. Du bon vouloir, notamment, d’un tribunal de commerce… Alors délaissé par son ancien propriétaire, le zoo de Pont-Scorff avait été repris, un temps, par le groupement d’associations Rewild.
Ce commerce illégal représente un risque élevé pour la biodiversité car les espèces ciblées sont souvent rares et menacées : l’anole verte de Cuba (Anolis porcatus), mygale naine de Bolivie (Cyriocosmus perezmilesi), cobra des forêts (Naja melanoleuca) au Cameroun…
Humour, créativité et ton décalé sont au rendez-vous pour sensibiliser le grand public à la protection de cet écosystème… et à celle des communautés qui en dépendent !
Elle ajoute également que « de petits mammifères peuvent aussi être touchés s’ils se déplacent au sol : souris, campagnols, taupes, voire des animaux un peu plus gros comme des opossums »
Au cœur des forêts et savanes africaines, une crise silencieuse menace la biodiversité exceptionnelle du continent. Des espèces emblématiques tombent sous l’emprise d’un piège en apparence rudimentaire, mais d’une redoutable efficacité : le collet.
La Bolivie est une terre de contrastes. Entre plaines inondées, savanes arides et forêts sèches, des territoires presque intacts abritent une biodiversité exceptionnelle et soutiennent la vie de communautés locales depuis des siècles
En plus d’avoir maintenu en captivité ces animaux, dont plusieurs ont été saisis dans un état préoccupant, ils sont accusés d’avoir procédé à des captures dans la nature, notamment à l’aide de gluaux, ou encore d’avoir relâché des individus d’espèces exotiques envahissantes.
Avant d’arriver au sanctuaire de Humane World for Animals Black Beauty Ranch, un marmoset nommé George avait une existence solitaire en tant qu' »animal de compagnie » de quelqu’un, gardé en cage dans un sous-sol du Wisconsin. Les autorités ont répondu à une plainte selon laquelle un primate ne recevait pas de soins appropriés et l’ont confisqué. Black Beauty Ranch s’est mobilisé pour lui fournir des soins à vie, où il a rejoint Cali, une marmotte qui a été abandonnée au sanctuaire par son ancien propriétaire en Floride qui s’est rendu compte qu’elle avait besoin de plus d’espace.
Les marmous sont des animaux sauvages sociaux qui ont besoin d’interaction avec d’autres de leur propre espèce. Maintenant, George, 3 ans, et Cali, 7 ans, partagent leur grand habitat naturel au sanctuaire où ils peuvent passer le reste de leur vie à exprimer leurs comportements naturels, comme grimper aux arbres, sauter de branche en branche et s’accrocher à l’envers.
Mais au-delà du drame humain, les animaux ont eux aussi payé un lourd tribut, entre les animaux domestiques qui n’ont pas pu être évacués, et la faune sauvage qui n’a pas pu s’enfuir.