L’association rappelle qu’une transition vers une alimentation végane permettrait de freiner ces catastrophes appelées à se répéter.

L’association rappelle qu’une transition vers une alimentation végane permettrait de freiner ces catastrophes appelées à se répéter.
Que l’humain cesse de considérer l’animal comme une matière première, au même titre que le caoutchouc ou le cacao, est l’un des sujets du siècle.
Un demi-million d’euros d’argent public a-t-il servi à financer un projet d’élevage de félins déguisé en sanctuaire ? C’est ce qui pourrait se cacher derrière le projet Big Cats.
Plus tôt cette année, un incendie de forêt a touché des vies humaines et animales en Corée du Sud. 700 chiens vivaient dans un élevage de viande canine et la plupart d’entre eux n’ont malheureusement pas survécu.
Heureusement, sept chiens ont réussi à s’échapper.
Après deux ans de silence, il aura fallu des actions devant une trentaine de magasins pour qu’E.Leclerc sorte enfin de son mutisme. Mais au lieu d’ouvrir le dialogue sur les
Dans cette interview puissante et éclairante, Caroline du Saint, autrice et réalisatrice du documentaire L’Usine des animaux (Arte) et du livre Le Déni français, démonte méthodiquement les mécanismes qui empêchent de voir la réalité de l’élevage industriel en France. Ce grand mensonge, à base d’images rassurantes de vaches dans les prés et de récits de petites fermes familiales, est largement relayé par l’industrie, les politiques, la publicité… mais aussi par notre propre désir de croire que tout va bien.
Il s’agit du 18e élevage de chiens fermé définitivement par Humane World for Animals. Depuis le début du programme, plus de 2 700 chiens ont été sauvés. Ils ont trouvé des familles adoptives aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et, pour un petit nombre, en Corée du Sud.
L214 révèle ce matin une nouvelle enquête d’une ampleur inédite : pas moins de 8 élevages bretons fournissant les supermarchés E.Leclerc. Les images montrent une réalité accablante et révèlent des pratiques cruelles – et parfois même illégales
un élevage d’oiseaux aquatiques illégal a sévi pendant plus de dix ans. Le propriétaire de l’établissement, qui vendait ces animaux aux chasseurs, a bafoué la réglementation et multiplié les mauvais traitements durant tout ce temps.
Si les consommateurs savaient ce qui se cache derrière les jambons ou lardons de Mix Buffet, ils tourneraient de l’œil. Les dirigeants de l’entreprise doivent changer le sort de ces truies en cage, de ces porcelets mutilés. Ils en ont le pouvoir !