Écrire un livre contre le spécisme ? Facile : il suffit de boire 400 cafés, lire des pages et des pages de mauvaise foi carniste, et essayer de rester lucide pour en faire quelque chose d’utile.
Écrire un livre contre le spécisme ? Facile : il suffit de boire 400 cafés, lire des pages et des pages de mauvaise foi carniste, et essayer de rester lucide pour en faire quelque chose d’utile.
Dans cet épisode, je reviens sur ce chemin intérieur et extérieur, qui m’a permis de me sentir autorisé à écrire. Autorisé par un ensemble de conditions : matérielles, culturelles, relationnelles… qui permettent de l’envisager puis de se sentir légitime et d’y arriver. Mais ça ne s’est pas construit du jour au lendemain.