Contre les colliers électriques, les mutilations ou la consanguinité, les députés européens votent le 19 juin sur un texte de la Commission européenne fixant des règles minimales de protection concernant l’élevage de chiens et de chats dans l’UE.
Contre les colliers électriques, les mutilations ou la consanguinité, les députés européens votent le 19 juin sur un texte de la Commission européenne fixant des règles minimales de protection concernant l’élevage de chiens et de chats dans l’UE.
Avant même de regarder à l’intérieur du hangar, l’enquêteur sentait qu’il y avait un problème. « Dès que j’ai ouvert la porte, l’odeur m’a frappé. Mais le pire, c’était la chaleur, cet air épais et collant qui s’accroche à votre peau », témoigne-t-il.
Ouvert à toutes les personnes engagées en faveur du bien-être animal, qu’elles soient professionnelles ou curieuses de développer leurs connaissances, l’événement vise à rendre accessibles les dernières avancées scientifiques, éthiques et pratiques.
Intervilles revient sur France 2 sans vachettes, les animateurs justifiant ce choix par le bien-être animal et une expérience marquante liée à un accident passé.
Les premières règles européennes sur le bien-être et la traçabilité des chiens et des chats ont été adoptées par 35 voix pour, 2 contre et 9 abstentions.
Présente au Parlement européen à Bruxelles, la Fondation 30 Millions d’Amis vous présente les enjeux du règlement pour le bien-être des chiens et des chats.
De nombreux sujets sont actuellement en discussion : Traçabilité, élevage, commerce des chiens et des chats, interdiction des colliers étrangleurs, interdiction des mutilations… Uniformiser le droit entre les pays de l’UE pour que les mêmes règles s’appliquent aux 72 millions de chiens et 83 millions de chats qui partagent la vie des citoyens de l’UE !
Adopté en 2019, le programme ASVR est désormais renforcé et étendu dans au moins 14 villes, avec un financement de 23 millions de dollars sur cinq ans.
Comment mieux prendre en compte le bien-être animal ? Cette question, sur laquelle le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire s’est penché en 2016, répond à une attente sociétale toujours plus forte.
Mon voyage respecte les animaux !
« On ne veut plus voir au niveau du spectacle des gars qui tapent comme des sourds sur les chevaux en fin de course »