Bien que certaines dispositions de la loi aient été invalidées par le Conseil constitutionnel, le maintien de l’article 3, au détriment du principe de non-régression environnementale, est extrêmement préoccupant pour le bien-être des animaux d’élevage car il ouvre la voie à une nouvelle phase d’industrialisation de l’élevage en France.
