Identifiés entre 5 800 et 9 533 m de profondeur, ces êtres vivent non pas de la photosynthèse — comme une grande partie des organismes terrestres — mais de la chimiosynthèse.
Identifiés entre 5 800 et 9 533 m de profondeur, ces êtres vivent non pas de la photosynthèse — comme une grande partie des organismes terrestres — mais de la chimiosynthèse.
Voilà le triste spectacle qui fut donné le 13 juillet dernier, à l’occasion d’une corrida organisée à Céret (Pyrénées-Orientales) et dont nous publions des images inédites.
La scène est éprouvante. Prostré dans un coin des parties communes d’un immeuble de Pierrefitte-sur-Seine, Rio présente des plaies saignantes sur le corps et des hématomes au niveau de la gueule.
Deux organisations de défense de la cause animale ont annoncé avoir porté plainte contre la direction du zoo après « l’abattage de 12 singes en parfaite santé ». Le zoo a « mis son projet à exécution » alors que « d’autres institutions étaient prêtes à accueillir les babouins »
L’image de la petite ferme familiale, avec quelques vaches dans un pré, est partout : dans les pubs, sur les emballages, dans les discours.
Mais cette vision rassurante ne reflète pas la réalité de l’élevage en France. Elle est entretenue et largement exploitée par les industriels, car elle permet de masquer la violence du système intensif dans lequel sont élevés la majorité des animaux.
Des millions d’individus enfermés à vie, invisibles, sacrifiés loin des regards.
👉 Tant qu’on croit à cette illusion, on perpétue un système qui broie sans relâche.
Pour empêcher une véritable hécatombe et dire stop à ces dérives, One Voice demande la suspension immédiate de cet arrêté. Rendez-vous à l’audience du 1er août à 10 h au tribunal administratif de Nîmes.
Normalement interdits, ces combats bénéficient aujourd’hui encore d’une dérogation inacceptable dans certaines localités. Pour que ce loisir soit définitivement abandonné, nous avons saisi le préfet du Nord et le maire de Saint-Martin-Lez-Tatinghem.
En Thaïlande, la loi autorise les individus à posséder chez eux le « roi des animaux ».
Après avoir fait suspendre un arrêté préfectoral autorisant des tirs d’effarouchement contre les ours en Ariège, l’association One Voice critique la signature d’un nouveau texte. Elle accuse la préfecture de
30 rescapées ont pu être sauvées, retrouvées au milieu d’une vingtaine de cadavres. Mais plus de 200 moutons seraient encore détenus par cet éleveur, dans des conditions inconnues.
Où sont les contrôles vétérinaires ?
Que fait la préfecture de l’Hérault ?
Faut-il attendre un nouveau charnier pour agir ?