Il s’agit du 18e élevage de chiens fermé définitivement par Humane World for Animals. Depuis le début du programme, plus de 2 700 chiens ont été sauvés. Ils ont trouvé des familles adoptives aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et, pour un petit nombre, en Corée du Sud.
Dans la nuit du 15 avril, des militants de 269 Libération Animale ont pénétré dans l’abattoir ILCO – le plus grand abattoir d’agneaux d’Italie – et ont libéré 17 agneaux qui devaient être abattus quelques heures plus tard. Les agneaux ont été transportés par les militants hors de l’abattoir, dans des véhicules de transport qui attendaient à l’extérieur, puis acheminés vers des destinations inconnues à travers l’Europe.
Mais c’est surtout un paradis pour les oiseaux marins. La réserve ornithologique de la Fauconnière, deuxième plus importante des Côtes-d’Armor, accueille chaque année des milliers d’oiseaux nicheurs.
Parmi ces espèces animales, cinq sont définitivement éteintes, et cela ne ferait que commencer…
Si vous achetez votre chiot en animalerie, il provient probablement d’une usine à chiots. Ces usines à chiots aux États-Unis vivent dans l’ombre, mais aujourd’hui, nous braquons les projecteurs sur cette industrie néfaste. Un nouveau rapport dénonce 100 usines à chiots à travers le pays, dont certaines sont liées à Petland, une chaîne nationale d’animaleries qui vend des chiots.
Mon voyage respecte les animaux !
Maintenant, après avoir retrouvé Peggy et Joe, il s’épanouit dans sa nouvelle vie où il reçoit tout l’amour et les soins que méritent les chats !
Deux impressionnants calmars (appelé plus couramment calamar, même si ce n’est pas le terme exact) alimentent les récits et légendes des marins, il s’agit du calmar géant et du calmar colossal.
Une enquête policière a été ouverte en Islande le 25 mars suite à la mort d’un million de jeunes saumons dans la ferme d’élevage de Kaldvik, en raison « de mauvais traitements, de conditions de transport difficiles et d’une qualité médiocre de l’eau de mer ».
Donald Trump justifie cette décision par sa volonté de défendre les pêcheurs étasuniens, qui seraient contraints à pêcher « plus au large, dans les eaux internationales, pour concurrencer des flottes étrangères mal réglementées et fortement subventionnées ».
