On continue, ensemble, notre combat pour sauver davantage de forêt, avec le début de la création d’une nouvelle réserve, et le lancement du “Grand Dulan”.

On continue, ensemble, notre combat pour sauver davantage de forêt, avec le début de la création d’une nouvelle réserve, et le lancement du “Grand Dulan”.
Ce dernier épisode s’ouvre sur un chant : est-ce le hurlement d’un loup ou l’aboiement d’un chien ? Ni l’un, ni l’autre. Ou plutôt : l’un et l’autre.
Chaque année, en France, 258 animaux en moyenne sont abattus par habitant. Plus nous tuons d’animaux, plus nous en consommons, plus nos mécanismes d’occultation se renforcent pour justifier cette violence non-nécessaire.
Comment les oiseaux migrateurs terrestres et marins occupent-ils le golfe du Lion, ces eaux françaises de Méditerranée qui couvrent 150 00 km2 ? C’est à cette question que le programme scientifique Migralion, lancé en 2020, répond aujourd’hui en publiant ses premiers résultats.
Depuis une dizaine d’années, l’écologie de la peur s’intéresse à un aspect souvent négligé : l’effet de la simple présence d’un prédateur.
Le groupe “Le temps de l’écologie” a porté un vœu demandant au maire de mettre tout en œuvre pour que l’accueil des salons du chiot au Parc Expo cessent. Cela est possible : la Délégation de Service Public donne les moyens à la mairie de renégocier à tout moment les termes du contrat.
Une équipe internationale de quelque 160 scientifiques s’est penchée sur l’état de santé de la planète en scrutant des « points de basculement » potentiels qui pousseraient ses écosystèmes au bord du gouffre.
Il en ressort que les actions en faveur de l’environnement semblent perçues et acceptées comme relevant de l’intérêt général par une large partie de la population. Elle adhère à ces propositions à des degrés divers en fonction de la sensibilité politique des personnes.
C’est une étonnante découverte. Ce dimanche 12 octobre, sur un parking situé à Florensac, dans l’Hérault, un internaute retrouve entre deux voitures, un vautour sur le sol, les ailes tombant à terre, la patte baguée.
Le spécisme désigne une discrimination fondée sur l’espèce. Comme le racisme et sexisme, il impose une hiérarchie systémique et arbitraire, qui justifie l’exploitation, la violence et la mise à mort de certains animaux.