J’ai cofondé et je participe à une structure qui permet à des personnes salariées (100 aujourd’hui) de consacrer leur temps, leur force de réflexion et de travail à défendre les autres animaux
J’ai cofondé et je participe à une structure qui permet à des personnes salariées (100 aujourd’hui) de consacrer leur temps, leur force de réflexion et de travail à défendre les autres animaux
Le 5 mai 2025, le tribunal correctionnel de Saint-Etienne a reconnu Diane Gouhier, présidente de l’association Cœur sur Pattes, coupable
de « vol de chien », pour avoir refusé de restituer Riya, une chienne qu’elle avait secourue dans un état critique.
En clôture du colloque, le député savoyard Jean-François Coulomme annonce qu’il va déposer prochainement une Proposition de loi pour interdire les combats de vaches d’Hérens.
Derrière cet effondrement massif des insectes, non pas une seule raison, mais de multiples raisons
Devant la vitre, à deux pas du public, une ourse se promène de long en large. Quelques mètres au-dessus d’elle, trois louves la regardent à peine.
Le Parti animaliste dénonce avec force ces revendications d’un autre temps, visant à légitimer et pérenniser une pratique violente, minoritaire, et de plus en plus rejetée par la société.
L’eau est foncée, parfois verte. L’association diffuse ces images avec une musique dramatique, accompagnés de ce commentaire : « Deux orques et seize dauphins [il y en a 12 en réalité, Ndlr] abandonnés à Marineland après sa fermeture (…) enfermés dans des bassins dégradés. »
En développant les espaces verts, les villes ont permis à certaines espèces de se refaire une place parmi nous. Le paradoxe, c’est que dans les campagnes où l’usage de pesticides perdure, de nombreuses espèces restent menacées de disparition.
À plus de 1000 mètres d’altitude sur le Causse Méjean troué de grès de calcaire comme un gruyère, Sylvère Petit nous invite dans les coulisses de son dernier film « Vivant parmi les vivants »
Berceau de la vie sur terre, l’océan recouvre 71 % de la surface de notre planète. Si nous voulons le protéger pour le bien de l’humanité, il est temps de mieux comprendre le fonctionnement de cet écosystème qui nous demeure encore trop souvent méconnu.