Depuis une dizaine d’années, l’écologie de la peur s’intéresse à un aspect souvent négligé : l’effet de la simple présence d’un prédateur.

Depuis une dizaine d’années, l’écologie de la peur s’intéresse à un aspect souvent négligé : l’effet de la simple présence d’un prédateur.
Certaines associations de protection des animaux, comme l’Aspas et Ferus, avaient d’ailleurs appelé à s’opposer à ce projet de décret, pour protéger le loup.
La politique anti-loup du gouvernement s’apprête à franchir une nouvelle étape gravissime. Publié le 24 septembre, un projet de décret vise en effet à modifier le code de l’environnement pour préparer le déclassement du grand prédateur en France, prévu pour le 1er janvier 2026.
One Voice et ses partenaires, l’ASPAS, FERUS, la LPO Bourgogne Franche-Comté et le Pôle Grands Prédateurs, répondent à nouveau présents pour les loups de Saône-et-Loire. Nous demandons la suspension immédiate d’un énième
À la suite des propos tenus par le Président de la République le 3 juillet 2025 à Roquefort-sur-Soulzon, la SFEPM, choquée, lui adresse une lettre ouverte pour lui rappeler la réglementation en vigueur et toutes les actions déjà mises en œuvre depuis de nombreuses années pour instaurer une coexistence apaisée entre le loup et les activités pastorales de notre pays.
Attaqué de toutes parts, le loup est en grave danger… Et, avec lui, c’est TOUTE LA BIODIVERSITÉ qui est menacée ! ☠️
Le message des politiques, à l’échelle européenne comme nationale, est clair : les animaux sauvages et la nature ne sont pas assez rentables, ils dérangent… Pourtant, nous ne pouvons pas vivre sans eux !
Aujourd’hui le loup… Et demain ? Le lynx ? L’ours ? Tout le Vivant ? 🐺🦊🐻🐸🐝🐙🐵🐯🧑
Ne soyons pas des spectateurs impuissants face à cette 6e extinction de masse orchestrée par les lobbies, soutenus par les gouvernements !
NOUS POUVONS AGIR… NOUS DEVONS AGIR ! 💪
« On ne va pas laisser le loup se développer et qu’il aille dans des massifs où il est en compétition avec des activités qui sont les nôtres », a ajouté le chef de l’Etat en marge d’un déplacement dans l’Aveyron.
Après avoir été éradiqué, le loup est revenu dans les années 1990 sur le territoire français. Aujourd’hui, il y en a 600, responsables d’environ 12 000 prédations par an. Entre les éleveurs qui veulent le chasser et les écolos qui veulent le protéger, le torchon brûle autour de cet animal mythique.
Le texte, transposant dans le droit européen les récentes modifications de la Convention de Berne sur la conservation de la vie sauvage, a été adopté en session plénière à Strasbourg, par 371 voix pour, 162 contre et 37 abstentions.
Les détracteurs de ces canidés ne sont donc jamais rassasiés. Contre ce texte plus que permissif et flou au possible, nous venons de déposer, avec Animal Cross et AVES, un recours devant le Conseil d’État pour demander son annulation.