Ils percutaient des animaux en voiture pour avoir « des sensations fortes » : le procès en appel de six chasseurs renvoyé en juin 2026

Six chasseurs solognots, mis en cause pour des faits de « chasse non autorisée en réunion, de nuit, avec usage d’un véhicule et port d’arme », avaient été relaxés en première instance pour vice de procédure. Aussitôt, le parquet avait interjeté appel, mais à peine ouvert, le second procès est déjà reporté.

CREUSE : APRÈS L’ABATTAGE DE LOUPS, DES CHIENS DANS LE VISEUR

Une décision d’une brutalité inouïe, qui rappelle tristement les dérives déjà observées ailleurs en France. Sous couvert de défense des éleveurs, l’État institutionnalise la mise à mort d’animaux domestiques — souvent perdus, parfois abandonnés. Nous attaquons l’arrêté devant le tribunal administratif de Limoges. L’audience aura lieu le 19 novembre à 9h30.