La flore et la faune de Mayotte dévastées, comme « une déflagration qui a tout soufflé »

« Il n’en reste plus grand-chose »: à l’avant d’un bateau, le président des Naturalistes de Mayotte revoit « pour la première fois depuis Chido » la mangrove de l’îlot Mbouzi, dont le touffu couvert végétal a disparu, laissant apparaître les racines décharnées des palétuviers.

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