SOS Serpent : un numéro d’assistance pour calmer les humains et épargner les serpents
SOS Serpent : un numéro d’assistance pour calmer les humains et épargner les serpents
Le président Emmanuel Macron frappe fort. Dans un entretien publié samedi par « Ouest-France », il annonce vouloir « limiter l’activité » des chaluts de fond dans certaines zones des aires marines protégées (AMP) françaises
Thomas Saïdi, ancien ingénieur devenu enquêteur pour L214, nous livre un témoignage bouleversant sur son infiltration en abattoir. Végan convaincu, il a réussi à se faire embaucher comme agent vétérinaire, sans diplôme, pour filmer de l’intérieur l’enfer des abattoirs et dénoncer un système souvent opaque et brutal.
L’IFAW explore de nouvelles façons d’améliorer les conditions pour les animaux, les personnes et l’endroit que nous appelons chez nous
Le 14 mai, l’organisme privé a publié un communiqué prétendant « rétablir les faits », réfutant tout problème et tentant de discréditer notre travail en produisant une série de documents censés justifier sa gestion des animaux. Or, l’analyse attentive de ces derniers — que la SACPA a elle-même rendus publics — ne fait que confirmer la gravité des faits dénoncés notamment dans nos vidéos.
« Notre plus belle victoire nous est offerte par le public, une génération 30 Millions d’Amis élevée dans le respect et l’amour des animaux, confie Reha Hutin, présidente de la Fondation 30 Millions d’Amis. Une génération qui assure à cette cause un changement profond et durable ! Mais encore faut-il que la réponse politique soit à la hauteur de l’attente sociétale, et là, malheureusement, le compte n’y est pas. »
Avec son nouvel ouvrage « Cause(rie)s animales, petit traité pour les maltraités » (Ed. Delachaux et Niestlé), elle questionne notre relation avec les animaux, son évolution dans le temps et l’extrême paradoxe : ne pas supporter de voir son animal de compagnie souffrir et fermer les yeux sur les vidéos de L214.
Au Vietnam, la bile d’ours est l’un des produits illégaux issus de la nature les plus populaires. Une question simple se pose mais qui, pour le moment, n’obtenait pas de réponse claire : pourquoi un tel succès ? Qui alimente cette demande ? Trois chercheuses ont mené l’enquête directement à Hanoï, la capitale, et dans la province de Nghê An.
Alouette, gentille alouette. Trois chasseurs jugés pour braconnage d’espèces protégées le 22 mai dernier ont été condamnés ce mercredi 4 juin par le tribunal judiciaire de Bayonne.
74 millions de dollars investis et des résultats qui ne sont pas à la hauteur des attentes. C’est ce que l’on constate lorsqu’on s’intéresse aux chiffres du braconnage de rhinocéros.