L’Assemblée nationale vient d’adopter, dans le cadre de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2026, un amendement rendant obligatoire l’affichage du Nutri-Score sur les emballages alimentaires.
L’Assemblée nationale vient d’adopter, dans le cadre de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2026, un amendement rendant obligatoire l’affichage du Nutri-Score sur les emballages alimentaires.
Une décision d’une brutalité inouïe, qui rappelle tristement les dérives déjà observées ailleurs en France. Sous couvert de défense des éleveurs, l’État institutionnalise la mise à mort d’animaux domestiques — souvent perdus, parfois abandonnés. Nous attaquons l’arrêté devant le tribunal administratif de Limoges. L’audience aura lieu le 19 novembre à 9h30.
Le cas de Virgule, petite velle confiée à l’OABA par décision du tribunal, est particulièrement parlant. Virgule a rejoint le refuge de l’association, elle y a vite retrouvé une parfaite santé et elle a continué à y vivre comme un animal de compagnie, c’est-à-dire sans exploitation, sans reproduction ni abattage.
C’est “une grande maison”, comme aime à la qualifier son directeur depuis neuf ans, Christophe Degueurce. L’École nationale vétérinaire d’Alfort (Enva), aux portes de Paris, réunit chaque jour près de 1 .000 étudiants, 80 enseignants, une trentaine de chercheurs et 260 personnels administratifs.
Les premières images confirment leurs craintes : un petit corps flotte, apparemment inerte, au centre du groupe. Puis survient le moment qui change tout. Le baleineau bouge. Il est vivant.
Il y a dix ans, FOUR PAWS Australia a commencé avec une vision audacieuse – et c’est vous, nos partisans, qui avez transformé cette vision en réalité. Vos voix, vos actions, votre compassion ont entraîné un puissant changement pour les animaux à travers l’Australie et au-delà.
Nous sommes en train de saisir plus de six tonnes d’ailerons de requin provenant de diverses espèces qu’il est strictement interdit de pêcher », a indiqué à l’AFP le général Manuel Lozada, chef de la brigade criminelle.
Les images issues de la dernière enquête signée L214 sont sans appel : des sites d’élevage intensif ont été observés dans toutes les régions de l’Hexagone.
En seulement quelques jours, plus de 20 000 citoyens ont signé la pétition lancée par l’association, demandant à l’Union européenne d’interdire ces exportations et d’encadrer plus strictement l’usage d’animaux dans les opérations militaires.
“Bêtes de tranchée”, mortes sur les champs de bataille…, c’est à ses animaux enrôlés, projetés dans la grande guerre et oubliés, qu’Eric Baratay consacre son dernier livre.