Puisque le Kwata est très demandé par l’industrie de la captivité, quoi de plus simple que de garder un singe arrivé au centre de soins d’un zoo en concluant qu’il n’est pas relâchable ?
Puisque le Kwata est très demandé par l’industrie de la captivité, quoi de plus simple que de garder un singe arrivé au centre de soins d’un zoo en concluant qu’il n’est pas relâchable ?
Face aux récentes annonces du ZooParc de Beauval concernant l’ouverture d’un « Centre d’Études et de Sauvegarde pour dauphins » en 2027, et suite au déplacement ministériel du 6 novembre, les organisations non gouvernementales (ONG) de protection animale réaffirment leur opposition catégorique à ce projet.
Notre société emprisonne massivement les animaux pour les exhiber. PAZ mène campagne pour amorcer la sortie de la captivité animale. Nous visons en priorité les établissements publics parce que l’argent public ne devrait pas alimenter la captivité animale.
Ce départ anticipé de deux des quatre pandas présents en France, enjeux diplomatiques entre la France et la Chine, a été décidé « en concertation avec les autorités chinoises », a indiqué à l’AFP Rodolphe Delord, le directeur du parc situé à Saint-Aignan (Loir-et-Cher), affirmant que la femelle conserve « un bon appétit » et « un comportement habituel ».
Alors que tous les projecteurs sont braqués sur Wikie et Keijo, les deux dernières orques du Marineland d’Antibes (Alpes-Maritimes), quid de leurs compagnons d’infortune ?
Pourquoi le zoo de Beauval pourrait accueillir les 12 dauphins du Marineland ? Et dans quelles conditions ?
Lamya Essemlali, Présidente de Sea Shepherd France revient sur le projet, son intérêt et les garde-fous essentiels à poser.