Quand on ouvre les yeux sur la souffrance que l’humanité fait endurer aux autres espèces au nom du plaisir ou du divertissement, tout le folklore perd de sa magie
Quand on ouvre les yeux sur la souffrance que l’humanité fait endurer aux autres espèces au nom du plaisir ou du divertissement, tout le folklore perd de sa magie
Elles sont des miraculées : quatre chèvres ont pu être secourus et sauvées in extremis de la mort samedi dans le Tarn-et-Garonne, grâce à l’intervention de la police nationale et de membres de l’association de protection animale Les 3 Dindes.
Ce ne sont pas des héros, ce sont ceux qui ont perturbé tout un écosystème, qui mettent à mal la faune sauvage, qui ont déréglé la vie de la forêt, qui ont engendré une surpopulation de sangliers.
Ce ne sont pas ceux qui règlent les problèmes, ce sont ceux qui les ont créés.
Le récit d’Eliott, c’est également celui d’environ 3500 primates qu’ils exploitent chaque année en France. “Ils”, ce sont les laboratoires.
Derrière une tranche de foie gras, il n’y a pas un simple produit festif. Il y a un canard ou une oie, un être sensible, capable de ressentir la peur, la douleur, le stress.
Ces animaux ont subi une souffrance extrême, dans un contexte de violence totalement gratuite et inacceptable. L’opération, d’une cruauté inouïe a été menée en pleine ville, sans aucune transparence, sans cadre légal, et aucune autorité n’a assumé la responsabilité de ce massacre.
En les piégeant dans des sacs remplis d’eau glacée, ces employés ont créé une chambre de torture pour les grenouilles qui seront tuées pour leurs cuisses. Cette technique qui consiste à congeler les batraciens n’est pas toujours efficace, et la nouvelle enquête de PETA Asie révèle des images montrant des animaux qui respirent toujours alors qu’ils ont déjà été incisés.
Saisir une crevette dans un bol, craquer sa carcasse entre ses doigts, l’enduire de sauce, l’engloutir. Un geste banal, en particulier durant la période des fêtes de fin d’année. Mais pour qu’il soit possible, il faut, en début de chaîne, en pratiquer un autre, bien moins anodin : arracher — à vif — les yeux des femelles reproductrices.
Fidèle au poste pour dénoncer les mensonges des marketeux et de l’élevage français 🫡
Vous ne trompez plus personne.
À travers cette enquête, découvrez les mécanismes qui ont permis au système de résister : failles du contrôle vétérinaire, prescription judiciaire orchestrée, lobbying de l’industrie de la viande face à une opinion publique pourtant massive et stable.