Ce départ anticipé de deux des quatre pandas présents en France, enjeux diplomatiques entre la France et la Chine, a été décidé « en concertation avec les autorités chinoises », a indiqué à l’AFP Rodolphe Delord, le directeur du parc situé à Saint-Aignan (Loir-et-Cher), affirmant que la femelle conserve « un bon appétit » et « un comportement habituel ».
