Eddine Ariztegui, adjoint au maire délégué à la condition animale et élu du Parti animaliste, dénonce une mise à mort injustifiée et un manquement démocratique.

Eddine Ariztegui, adjoint au maire délégué à la condition animale et élu du Parti animaliste, dénonce une mise à mort injustifiée et un manquement démocratique.
A nouveau, nous avons saisi en extrême urgence ce même tribunal dans le cadre d’un référé liberté. Et, une fois encore, celui-ci a suspendu l’arrêté en rappelant que ces tirs ne peuvent en aucun cas être menés de jour, c’est-à-dire après 8h du matin. Une victoire partielle pour les ours, donc, qui devraient néanmoins continuer à faire l’objet de ces tirs effrayants, aux conséquences dramatiques pour les femelles et leurs petits, pendant la nuit.
La scène est éprouvante. Prostré dans un coin des parties communes d’un immeuble de Pierrefitte-sur-Seine, Rio présente des plaies saignantes sur le corps et des hématomes au niveau de la gueule.
Pour empêcher une véritable hécatombe et dire stop à ces dérives, One Voice demande la suspension immédiate de cet arrêté. Rendez-vous à l’audience du 1er août à 10 h au tribunal administratif de Nîmes.
1149 contre, 145 pour : le préfet autorise. L’arrêté préfectoral autorisant le déterrage des blaireaux dès le 15 juin a été pris à l’issue d’une consultation du public dont le bilan est sans appel : 1149 participants à la consultation ont émis un avis défavorable (soit 88 %), contre 145 avis favorables (soit 11 %).
Ce nouveau recours « est déposé dans un contexte où les doutes scientifiques, éthiques et environnementaux entourant ce projet s’accumulent », soulignent les associations dans un communiqué. « Ne pas faire appel reviendrait à entériner une décision que nous considérons juridiquement contestable et scientifiquement infondée ».
One Voice et ses partenaires, l’ASPAS, FERUS, la LPO Bourgogne Franche-Comté et le Pôle Grands Prédateurs, répondent à nouveau présents pour les loups de Saône-et-Loire. Nous demandons la suspension immédiate d’un énième
Une perquisition menée par l’Office français de la biodiversité et la gendarmerie d’Orléans sur son domaine de Fontenaille, situé près de La Ferté-Saint-Aubin, a permis de découvrir un charnier d’espèces protégées
Le dossier porte sur la démolition d’une bâtisse dans le 13e arrondissement de Marseille, alors même qu’elle abritait un couple de chouettes chevêches d’Athéna – espèce strictement protégée. Pour rappel, selon le code de l’environnement, la destruction, l’altération ou la dégradation de ses habitats, naturels ou d’espèces, est interdit.
Sur l’île de la Réunion, une mère et son fils ont laissé leur chienne mourir sur leur terrasse. Ils ont été reconnus coupables et condamnés par le tribunal de Saint-Denis