Il a justifié ses sévices pour ‘méthode de dressage’ car la chienne lui ‘faisait mal au dos en tirant sur la laisse
Il a justifié ses sévices pour ‘méthode de dressage’ car la chienne lui ‘faisait mal au dos en tirant sur la laisse
Aujourd’hui, l’éleveur nous assigne en justice ! Il accuse, sans fondement, L214 de s’être introduite dans son élevage pour filmer et diffuser des images sans son consentement.
“Les loups sont en grave péril depuis la décision irresponsable et précipitée de l’Union européenne.
À quels animaux l’UE s’attaquera-t-elle ensuite si l’on ne stoppe pas cette soumission aux lobbies,
qui porte atteinte à la biodiversité tout entière ?
Pour eux, avec nos partenaires, nous allons devant la Cour de justice de l’Union européenne.”
Le Japon réclame l’extradition du militant écologiste. L’affaire embarrasse le gouvernement danois, pressé par les manifestations et les demandes internationales réclamant sa libération. Sur lepoint.fr #Danemark #PaulWatson #cassetête
Le tribunal de Bayonne a ordonné l’arrêt immédiat des travaux et exige, de la part de RTE, des garanties de protection de la faune marine pour conditionner leur reprise. Sur
Des milliers de blaireaux sauvés grâce à nos procédures d’urgence, des dizaines d’arrêtés déclarés définitivement illégaux par les tribunaux… et la panique du côté des chasseurs et des préfectures !
En plein cœur de l’été, les ours de l’Ariège sont pris pour cible par les services de l’État. Dans les nuits du 5 au 8 août, des agents de l’Office
Des chasses traditionnelles aux oiseaux à la vénerie sous terre des blaireaux en passant par les dérogations pour effaroucher et tuer des animaux d’espèces protégées, nos actions en justice permettent,
Depuis des années, nous alertons l’opinion sur les conséquences des tirs d’effarouchement contre les ours. Pourtant l’État semble décidé à ne pas entendre les avertissements : non seulement ces opérations
L214, FNE, Bien vivre dans le Perche et Perche avenir environnement déposent un recours auprès du tribunal administratif de Caen : les associations contestent la décision de la préfecture de l’Orne qui autorise l’agrandissement