Des chiffres valent parfois 1 000 mots. Ceux-ci donnent une image saisissante de l’explosion de la mobilité humaine depuis 1850, et de la ruine concomitante du monde sauvage.
Des chiffres valent parfois 1 000 mots. Ceux-ci donnent une image saisissante de l’explosion de la mobilité humaine depuis 1850, et de la ruine concomitante du monde sauvage.
En analysant 225 000 ossements répartis sur 8 000 ans d’histoire, des chercheurs français ont mis au jour une transformation silencieuse mais spectaculaire : tandis que nous sélectionnons des vaches, cochons et poules toujours plus imposants pour notre consommation, la faune sauvage s’amenuise inexorablement.
C’est la réalité à laquelle sont confrontés de nombreux citoyens vivant à la campagne. Là où ils devraient pouvoir profiter du calme et de la nature, ils subissent la violence des acharnés de la gâchette et l’indifférence des autorités. One Voice appelle à la fin de ces passe-droits honteux.
Créée le 14 février 2025, Wafs de Rue est une jeune association implantée en Centre-Val de Loire (Loir-et-Cher – 41 et Loiret – 45), à la croisée de la protection animale et de la solidarité humaine.
Des études ont montré que certains animaux peuvent reconnaître des sons, des odeurs ou même des vêtements associés à des groupes humains qu’ils considèrent dangereux, et adopter des stratégies d’évitement ou de défense.
Pourtant, les études sont formelles : avoir des animaux de compagnie booste l’épanouissement personnel, mais pas seulement.
Pourtant, pendant les 7 000 ans précédant cette époque, la taille des animaux domestiques et sauvages évoluait de manière synchrone et analogue, suggérant que les changements environnementaux et climatiques influençaient alors davantage cette évolution morphologique.
L’ONG Longitudes 181 des océanographes François et Véronique Sarano repart en mer pour une nouvelle campagne d’études et d’observation de ces mammifères marins, en partenariat notamment avec l’Université de Toulon
Pourquoi l’être humain s’obstine à détruire la planète alors que nous savons pertinemment que nous fonçons dans le mur ? C’est l’objet d’étude du docteur en neuroscience et auteur Sébastien Bohler. Dans ces essais à succès, (Le Bug humain, Striatum…), ce dernier explore les mécanismes cérébraux qui nous conduisent à adopter des comportements destructeurs pour l’environnement, malgré la conscience croissante de l’urgence écologique.
Les spécialistes cherchent à expliquer ce comportement du cétacé, considéré comme l’un des plus grands prédateurs marins.