Le refuge de Salon, explique son président, est financé à hauteur d’1,60 euro par habitant pour remplir l’obligation légale de fourrière des 38 communes du secteur. « Or, notre mission va bien au-delà de récupérer des chiens errants, indique Philippe Adam, nous avons 280 animaux à nourrir et soigner l’année, et malgré les 645 adoptions en 2024, nous en accueillons des dizaines chaque semaine ».
