Depuis une dizaine d’années, l’écologie de la peur s’intéresse à un aspect souvent négligé : l’effet de la simple présence d’un prédateur.

Depuis une dizaine d’années, l’écologie de la peur s’intéresse à un aspect souvent négligé : l’effet de la simple présence d’un prédateur.
Il en ressort que les actions en faveur de l’environnement semblent perçues et acceptées comme relevant de l’intérêt général par une large partie de la population. Elle adhère à ces propositions à des degrés divers en fonction de la sensibilité politique des personnes.
De plus en plus de personnes questionnent leur rapport aux animaux. Écologie et cause animale sont indissociables.
Comme le dit Amadeus : on a déjà gagné ✊
Face à toutes ces contraintes, les acteurs de la Camargue, dont 25% des terres se situent en dessous du niveau de la mer, ont du mal à mener ensemble une réflexion sur le long terme.
Des militants d’Extinction Rebellion se sont assis sur la route, bloquant l’accès à la raffinerie de Mongstad, à Bergen, sur la côte sud-ouest de la Norvège, tandis qu’un groupe de kayaks et de bateaux à voile bloquaient l’entrée portuaire.
L’UniREVcité, LE rendez-vous incontournable de l’écologie radicale et antispéciste, revient en 2025.
Cette année, nous parlerons Palestine, droits des animaux, questions internationales, écologie radicale, liberté d’expression, féminisme et IA avec une programmation exceptionnelle.
Aux côtés du photographe animalier Adrien Favre, son associé, elle a fondé Melrakki – un nom qui signifie « renard » en vieux norvégien. À l’origine de ce projet : l’envie de donner vie au travail de son partenaire, jusque-là confronté aux refus ou à l’absence de réponse des éditeurs spécialisés.
Bien que petites et inoffensives, les taupes suscitent un profond agacement chez de nombreux jardiniers.
Lorsque cet oubli se fait au fur et à mesure des générations, on parle d’amnésie environnementale générationnelle. Mais l’amnésie concerne aussi les individus : par exemple, lorsqu’une personne oublie que son quartier était peuplé d’hirondelles durant son enfance.
Le parcours de « Pauvres bêtes ! » commence au cœur de la campagne sarthoise, entre Laval et le Mans, le pays des rillettes à découvert du refuge « Groin Groin », où des miraculés de l’industrie de la viande surtout, en particulier des cochons, y trouvent refuge et revivent…