Le monde vient d’entrer « dans une nouvelle réalité ». Celle où de nombreuses composantes du système climatique menacent de basculer à tout moment vers un nouvel état qui ferait encourir « des risques catastrophiques à des milliards de personnes ».

Le monde vient d’entrer « dans une nouvelle réalité ». Celle où de nombreuses composantes du système climatique menacent de basculer à tout moment vers un nouvel état qui ferait encourir « des risques catastrophiques à des milliards de personnes ».
Organisé tous les quatre ans, ce congrès rassemble des gouvernements, des ONG, des représentants de peuples autochtones, des scientifiques et des jeunes afin de définir les priorités mondiales en matière de conservation.
« C’est la plus grande arnaque jamais menée contre le monde », a déclaré le président américain mardi à l’ONU. Les prévisions climatiques viennent de « gens stupides qui ont fait dépenser des fortunes à leurs pays ».
Véritables piliers de la biodiversité marine, les récifs coralliens sont particulièrement vulnérables au réchauffement et à l’acidification des océans.
Réduire sa consommation de produits animaux est l’un des gestes individuels les plus efficaces pour limiter le réchauffement climatique.
Mardi 23 juillet, les juges de la Cour internationale de justice ont voté un texte climatique à l’unanimité. Cet avis consultatif donne la possibilité d’attaquer en justice les Etats qui violent leurs obligations climatiques.
Dans le jargon des scientifiques, on dit que la Méditerranée est un “hotspot” du changement climatique. En français courant, ça veut dire que c’est un endroit qui se réchauffe plus vite que le reste de la planète. Pour le dire encore plus clairement, cette grande mer est un train de devenir un chaudron acide.
Plus que des inquiétudes, Philippe Garcia confie aujourd’hui son désarroi. “Le biotope est déjà complètement perturbé”, assène le président de l’association Défense des milieux aquatiques.
« Le changement climatique force les tortues de mer à s’adapter, synthétise Denis Fournier, chercheur du Fonds de la recherche scientifique-FNRS à l’Université libre de Bruxelles et auteur de cette étude.
Ce déclin rapide a été observé par satellites dans seize colonies, situées dans la péninsule antarctique, la mer de Weddell et la mer de Bellingshausen, qui représentent un tiers de la population de la plus grande espèce de manchots au monde