L’affiche de PETA montre une poissonnière tenant un poisson mort, puis la même scène avec un chat ; le slogan interpelle : « Vous voyez une différence ? Ouvrez les yeux. Chaque animal est un individu. Devenez végan. »

L’affiche de PETA montre une poissonnière tenant un poisson mort, puis la même scène avec un chat ; le slogan interpelle : « Vous voyez une différence ? Ouvrez les yeux. Chaque animal est un individu. Devenez végan. »
On croit que le plus dur, c’est d’écrire. Mais en fait… le plus dur, c’est de réécrire. Cet épisode plonge dans la phase des relectures : les retours cash des proches, les annotations qui piquent mais sauvent un chapitre, les doutes qui reviennent à chaque page, les désaccords entre relecteur·ices, les éternels « ça ne sera jamais assez bien »… et puis le moment où il faut dire stop.
« Les animaux sont bêtes », « L’humain est fait pour être carnivore », « Les animaux sont heureux dans les petits élevages », « L’antispécisme est une dérive wokiste », « Vous voulez même nous empêcher d’écraser les moustiques ! », « Le spécisme n’est qu’un slogan militant »…
Un bon argument, sans le bon style, ça peut être… soporifique. Je m’en suis rendu compte en relisant un de mes premiers chapitres, que je trouvais « pas si mal » au départ, pour finalement me dire : « Mais c’est nul, qu’est-ce que c’est plat ! ». La claque. Je l’ai entièrement réécrit.
Je vous propose d’écouter cet épisode avec Florence Dellerie, qui vient rappeler pourquoi l’extrême droite est dangereuse pour l’ensemble des groupes opprimés, animaux non-humains compris.
Et aujourd’hui, je vous parle d’@EthiqueEtPsycho, le podcast animé par Yohann Hoarau qui analyse les oppressions, notamment par le biais de la psychologie sociale, mais aussi avec d’autres disciplines comme la sociologie, les sciences politiques, l’histoire, etc.
Écrire un livre, ce n’est pas une ligne droite. C’est une alternance de montagnes russes : des chapitres qui coulent presque tout seuls, où l’inspiration est là, où chaque phrase tombe juste… et d’autres où chaque mot ressemble à une corvée.
Dans cet épisode, je raconte comment le « court » est devenu l’un des plus gros pièges du projet : plus d’efficacité, oui, mais aussi deux fois plus de travail. Chercher la bonne accroche, trouver la bonne chute, jongler avec les titres et les transitions… jusqu’à parfois passer plus de temps à réécrire qu’à écrire.
J’ai aussi fait des reportages photo, dont un sur les blaireaux européens
L’UniREVcité, LE rendez-vous incontournable de l’écologie radicale et antispéciste, revient en 2025.
Cette année, nous parlerons Palestine, droits des animaux, questions internationales, écologie radicale, liberté d’expression, féminisme et IA avec une programmation exceptionnelle.