« Mal nommer les choses, c’est contribuer au malheur du monde », affirmait Camus. Pour Gilles Clément et Jacques Tassin, cela vaut aussi en écologie, avec l’usage apparemment anodin du concept d’« espèces invasives », qui est faux du point de vue écologique mais témoigne aussi d’un transfert sur les « intrus » des problèmes dont nous sommes responsables
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