Qui s’en frotte les mains depuis des semaines et torpille ainsi des années d’efforts de protection de la vie sauvage ? Les éleveurs, les chasseurs et les décideurs publics à leur botte.
Qui s’en frotte les mains depuis des semaines et torpille ainsi des années d’efforts de protection de la vie sauvage ? Les éleveurs, les chasseurs et les décideurs publics à leur botte.
« Chaque année une enveloppe devait être dédiée au financement de l’accueil des animaux de cirques. »
le préfet des Hautes-Pyrénées a publié un arrêté autorisant la capture de perdrix grises des montagnes dans le cadre d’une étude scientifique visant à mieux comprendre leurs habitats de reproduction. Cependant, cette étude est menée par les chasseurs eux-mêmes, qui sont également responsables de la régulation de cette espèce et de l’attribution des quotas de chasse.
L’entreprise américaine Energy Transfer attaque Greenpeace aux États-Unis et Greenpeace International en justice et réclame 300 millions de dollars. La raison ? Elle accuse Greenpeace USA d’avoir organisé les manifestations qui se sont déroulées dans le Dakota du Nord entre 2016 et 2017 pour s’opposer à son projet d’oléoduc, le Dakota Access Pipeline. Et cela, sans aucune preuve.
Faite de fibre de verre et de caoutchouc sur une structure métallique, sa réplique est présentée par les ONG de défense de la vie sauvage comme une alternative à la captivité et à ses périls.
Pour qui aime la nature, croiser un rouge-gorge suscite une réaction bien connue : s’arrêter, admirer, et profiter quelques instants de ce chant harmonieux et de ce joli spectacle
Cette décision sans précédent met en péril des années d’efforts de conservation en Europe. Elle envoie un mauvais message à un moment où la biodiversité est menacée.
Tous les insecticides, fongicides et herbicides ont des effets délétères à grande échelle sur tous les groupes d’organismes non-cibles identifiés
Un petit pas pour le tribunal, un grand pas pour les baleines
La pétition dénonce un projet “au mépris des enjeux environnementaux et sociétaux”. Parmi les arguments cités figurent la pollution des sols et des eaux à cause du fumier contenant des nitrates et des phosphates, ainsi que les émissions d’ammoniac et d’odeurs.