Une enquête policière a été ouverte en Islande le 25 mars suite à la mort d’un million de jeunes saumons dans la ferme d’élevage de Kaldvik, en raison « de mauvais traitements, de conditions de transport difficiles et d’une qualité médiocre de l’eau de mer ».
Repérage en Hydravion pour sécuriser de nouvelles zones… Survol de deux fragments (2000 et 1000 hectares), mais aussi d’une concession de palmiers à huile, et d’incendies.
Donald Trump justifie cette décision par sa volonté de défendre les pêcheurs étasuniens, qui seraient contraints à pêcher « plus au large, dans les eaux internationales, pour concurrencer des flottes étrangères mal réglementées et fortement subventionnées ».
L’Afrique francophone, par son immensité, recèle des trésors de biodiversité et compte de nombreux parcs naturels.
Alors que le verdict est attendu pour le 5 mai 2025, l’affaire Riya continue de mobiliser bien au-delà des cercles militants. Ce qui n’était au départ qu’un acte de sauvetage est devenu, en quelques semaines, le symbole d’une justice déconnectée de la réalité du terrain animalier.
La mission :
« J’arrêterai la chasse à la baleine de mon vivant. » – Capitaine Paul Watson
La première étape :
Rejoindre l’Irlande
Des images datant de 2025 montrent des cadavres en décomposition et des animaux malades, blessés et affamés laissés pour morts derrière les pyramides, à l’abri des regards des touristes. Les animaux fouillent dans les ordures pour se nourrir, sans accès suffisant à l’eau, tandis que les dromadaires souffrent de la gale car on leur refuse un traitement vétérinaire adapté. Un cheval momifié a été trouvé près des pyramides, une scène déchirante que les touristes ne sont pas censés voir.
Alors que les autorités affirment vouloir restreindre leur usage, les données racontent une tout autre histoire
On appelle « euthanasie de convenance » une euthanasie qui n’est pas justifiée médicalement ou sanitairement. Une euthanasie donc inutile, arbitraire. En ce sens, elle est interdite au titre de l’article 522‑1 du code pénal qui sanctionne « le fait, sans nécessité, publiquement ou non, de donner volontairement la mort à un animal domestique ». Or dans les faits, quantité d’animaux sont euthanasiés chaque année en France, en toute impunité et en toute opacité, aux moyens de l’argent public.
Derrière les scènes de battues ou les discours sur la régulation de la faune, se cachent des stratégies de communication redoutables, destinées à protéger des intérêts bien éloignés de la nature.
